Le voyage de noce de papier africain
Datte: 20/01/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
hagé,
jeunes,
couleurs,
extracon,
grossexe,
bain,
voyage,
fsoumise,
jalousie,
cérébral,
noculotte,
Oral
confession,
occasion,
extraconj,
nature,
... nectar, j’en enduis ses bourses, qui se balancent, toujours si loin de lui. Mon étalon noir alors me retourne et me pousse sur la couche. Docile, je remonte ma croupe vers son désir bandé. Enfin il me pénètre ! Il glisse en moi, loin, très loin, bien au-delà des zones jusque-là déflorées. Sa tête chercheuse me rend folle. Et, une nouvelle fois, une vague de plaisir me subjugue. Et une nouvelle fois, Moussa s’immobilise jusqu’à ce que je reprenne conscience. Alors il entreprend un pilonnage méthodique de mon ventre, je le sens comme jamais je n’ai senti un homme ! Le feu d’artifice éclate quand jaillit sa semence, quand nos cris se conjuguent, que nos sueurs se mêlent et nos sucs s’emmêlent. Retour sur terre, ou plutôt sur le tapis miteux de cette case africaine. Ma main suit le contour d’une lippe épaisse, d’un cou gracile, d’un torse décharné, bref d’un homme qui m’a donné un plaisir inconnu, mais qui n’est ni de ma couleur de peau, ni de mon monde. Je lui susurre à l’oreille : — Merci, mon beau Moussa. Pourras-tu me donner un peu de ta crème qui rend l’homme si attentif à sa compagne ?— C’est secret de sorcier, me répond-t-il avec une sécheresse jusque-là ignorée.— S’il te plaît Moussa, si tu le fais, tu pourras faire de moi ce que tu veux !— Non. La réponse claque pour moi comme un divorce à mes torts. Alors, très piteusement, je recherche mes vêtements, me rhabille et quitte, sous les yeux du meilleur amant que je n’aie jamais eu, la case ensorcelée. Arrivée dans la ...
... mienne, je m’effondre en larmes. J’ai décidément le don de ruiner mes meilleurs moments. Je reste prostrée jusque tard le soir, quand déboule mon Tim, Tartarin africain ! L’éléphant est mort, il n’en est pas peu fier. Pour la première fois, je me refuse à lui, une grosse migraine africaine. Nous partons dîner, l’alcool coule à flot, les chasseurs sont heureux. Je me retire sur la pointe des pieds. Mon mari putatif, bourré comme une vieille urne, me saute à son retour et vient quand je suis sèche. Triste sort d’une femme dite mariée ! Chasse au lion le lendemain, une nuit incluse. Je déclare forfait. Dino et Tim partent, un peu plus tard que d’habitude… Nouvelle grasse matinée, et cap sur la rivière. Les filles m’attendent, et gloussent en me voyant. Le bâton de Moussa m’a-t-il plu ? Combien de fois ai-je vu l’arc-en-ciel ? M’a-t-il ensemencée ? Garderai-je le bébé ? Ne dit-on pas au village qu’il est papa d’une partie des enfants ! J’aurais dû amener du rouge à lèvres pour leur donner un autre sujet de conversation ! Heureusement, Soula sent mon agacement, et me prodigue un massage divin. Elle me chuchote à l’oreille qu’il n’est pas bon pour moi d’être amoureuse du bâton de Moussa comme le sont les autres filles ! Peu à peu, je me détends. Le soir venu, je saute le dîner et me replonge dans mon roman. Tim ne viendra que demain matin : ils ont mis un appât pour le lion qu’ils vont guetter toute la nuit. Soudain, j’entends gratter à ma porte : en déshabillé, je vais l’entrouvrir. ...