1. Le voyage de noce de papier africain


    Datte: 20/01/2019, Catégories: fh, hplusag, hagé, jeunes, couleurs, extracon, grossexe, bain, voyage, fsoumise, jalousie, cérébral, noculotte, Oral confession, occasion, extraconj, nature,

    ... C’est Moussa ! Je veux la refermer, mais il la bloque avec son pied. Je le menace, il me répond que, peut-être, il peut me donner la crème miracle. Je lui ouvre, évidemment, il mate mon déshabillé qui ne cache pas grand-chose. — Carole, si tu acceptes ma demande, je te donnerai de la crème pour les hommes. Je me demande quelle drôle de demande il va formuler ! — Voilà, mon père est au crépuscule de sa vie. Il ne peut déjà plus marcher. Je voudrais qu’il réalise son rêve avant de s’en aller. Sa voix est grave, j’ai un autre Moussa devant moi. — Et quel est son rêve ?— Connaître une femme blanche comme toi ! Je suis interloquée. Je crois deviner ce qu’il sous-entend parconnaître une femme blanche. Mais j’ai aussi devant moi un homme qui m’a donné un plaisir inouï. J’hésite, puis d’un geste langoureux, j’ouvre mon déshabillé. Moussa fond sur moi, et sans aucune crème cette fois, m’entraîne au nirvana avec sa longue queue, dans le lit programmé pour mes ébats conjugaux. — Viens ma belle, viens ma gazelle, le lion est mort ce soir ! Tim l’a tué, sa libido explose, la mienne vient d’être satisfaite. Il est cinq heures du matin ! Il me possède, alors que je suis encore humide de mon étalon noir. Dernier jour de chasse, les chasseurs sont repartis. J’ai rendez-vous avec Moussa pas très loin de la rivière, hors de vue des filles quand même. Il est à l’heure. Nous contournons cette fois encore le village ; la case d’Idriss, le père de Moussa, est à une centaine de mètres de la sienne. ...
    ... Plus petite, carrée aussi. Il fait très sombre à l’intérieur, Moussa laisse la tenture d’entrée ouverte. L’odeur de renfermé est forte. Je distingue, dans un coin, un vieillard aux cheveux blancs, à demi couché dans un coin. Il me regarde, je le regarde. Il et presque aussi grand que Moussa, mais son corps est tassé. Il me sourit faiblement, je lui rends son sourire. Moussa se glisse derrière moi et ouvre un à un les boutons de mon corsage. Je n’ai pas mis de dessous. Le regard du vieux s’éclaire quand il voit mes seins. Puis ma jupe glisse sur mes hanches. Idriss plisse les yeux pour mieux voir mon minou blond. Moussa me pousse vers lui, il se redresse, tend les mains vers moi et me palpe les seins. Je soulève sa djellaba, son sexe est flasque. Je m’agenouille, et le lui caresse de la pointe d’un sein. Il grogne, m’attrape un téton dans sa bouche et le mordille. La mienne descend sur son ventre, il durcit. Je le suce, il se renforce. Je m’assois devant lui, rapproche ma chatte de son ventre et le guide en moi. Nous sommes face à face, je glisse mes cuisses de part et d’autre de son bassin. Ses yeux reflètent le bonheur, il m’attire vers lui, son ventre s’anime, il s’agite en moi, je deviens humide. Puis, dans un râle guttural, il décharge une petite quantité de semence en moi en me serrant dans ses bras. Moussa me relève, me couche sur le dos, remonte mes jambes autour de son cou et me pistonne. Il me fait toujours autant d’effet, et je viens. Il m’inonde peu après, mêlant ...