Le voyage de noce de papier africain
Datte: 20/01/2019,
Catégories:
fh,
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... différentes armes. Seule l’une d’entre elle semble présenter un défaut, et les hommes en bricolent la visée. Le bruit des déflagrations est assourdissant. Tim se retourne vers moi, me tend une arme et me dit : — À ton tour, Carole ! Je pose le genou gauche à terre, ferme un œil et vise soigneusement la cible. Patatras ! Je suis projetée sur le dos plusieurs mètres en arrière ! Lorsque je reprends mes esprits, je me rends compte qu’une bonne douzaine de paires d’yeux d’hommes est fixée sur moi : ma jupe s’est relevée sur mon ventre et je leur expose, impudique, la transparence de mon petit shorty noir ! Bonjour les commentaires, en toutes les langues, machistes et grivois ! En rabaissant ma jupe, je ressens une douleur à l’épaule droite : ma chemise, déchirée, baille sur mon soutien-gorge, et une grosse marque rouge orne le haut de mon sein droit. Pas un gentleman pour me venir en aide ! Furieuse, endolorie, je me relève et regagne seule notre bungalow sous les lazzis en me disant que je n’arriverai jamais à me faire une place dans un tel univers de mâles. En poussant la porte, je distingue une silhouette qui sursaute : une jeune femme est en train de préparer le lit ; je lui souris, elle me rend, rassurée, mon sourire. Il y a au moins une autre femme dans ce camp ! Je me présente, et elle me dit, dans un anglais très approximatif, tout en regardant, surprise, mon corsage déchiré : — Je m’appelle Soula. Vous vous êtes blessée ? Devant ma mine renfrognée, elle me dit de ...
... l’attendre quelques minutes. Je rumine mon humiliation contre tous les hommes qui m’ont matée, je vais devoir me venger… Soula revient, accompagnée de l’immense chauffeur nommé Moussa. Il tient dans ses mains toute une série de petits pots de yaourt. — Moussa va vous guérir, Mrs Carole, il guérit tout. Alors que je tente de masquer à sa vue mon bonnet de soutien-gorge, Moussa s’approche de moi et me demande d’ôter mon chemisier. J’ai encore à l’esprit son regard sur mon buste lors de notre trajet d’arrivée. Le sourire et la présence de Soula me rassure, et j’ôte mon vêtement. Moussa pose sa main sur mon sein, la paume contre la partie endolorie. Ses doigts sont incroyablement longs et comme manucurés. Je sens de la chaleur m’irradier. Pourvu qu’il ne me demande pas d’ôter mon soutien-gorge ! Son imposition dure plusieurs minutes, et je ressens des picotements qui ne sont pas de douleur. Il jette un ordre bref à la jeune Noire, qui lui tend un pot de yaourt. Il s’enduit les doigts d’un mélange crémeux à la senteur camphrée, le dépose sur ma chair meurtrie et le fait pénétrer avec la pulpe de ses doigts. L’odeur est forte, mais le soulagement instantané. Puis il décrit des cercles concentriques de plus en plus larges autour du point douloureux. Il n’hésite pas à glisser un doigt sous la dentelle du liseré de mon soutien-gorge lorsqu’il l’atteint, puis deux. À plusieurs reprises, il me frôle le téton. Je soupire, j’ai les jambes flageolantes. Se rendant probablement compte que je ...