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Le dégel
Datte: 20/01/2019, Catégories: fh, extraoffre, amour, Oral pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession,
... parle aussi pour elle. C’est beau une femme qui jouit de cette façon. Mais Louis n’en a pas terminé. Il n’a pas coupé au montage le mouvement de la caméra qui plonge vers le sol, et puis ça devient très sombre avant que l’automatisme ne corrige l’exposition. Il a dû se glisser sous le trio. C’est d’abord une forêt de jambes qui sert de guide. Mais là-haut, c’est autre chose. Deux belles queues qui s’activent. Elles ne sont plus synchrones comme au début. Leurs propriétaires sont dans le sprint final et les couloirs sont si proches que chacun doit sentir la bite de son voisin. Un instant, il ne reste que deux paires de couilles. Des couilles qui vont balancer la purée. Au loin on entend un cri qui ne peut être que de Lise, mais qui va résonner dans les feuillages. Les hommes jouissent à leur tour. Ils semblent figés et ne veulent plus quitter la chaleur de ce nid douillet. Un long moment le trio semble soudé, riveté par deux tiges. Mais des tiges qui faiblissent, à moins que ce soit celui qui supporte tout le poids de Lise bien que l’autre l’aide en la soulevant des fesses. Quelle impression cela doit être de suivre ce spectacle de si près ! Mais aussi de sentir des gouttes de foutre tomber. Tomber sur l’objectif, ce qui donne une impression surréaliste. Mais aussi tomber sur le visage de ce mari plus que partageur. Le foutre des amants qui viennent de labourer Lise et que les capotes libèrent dès qu’elles sont arrachées, avec l’envie de se frotter encore sur les chairs ...
... labourées. Bien des choses ont changé dans la pièce depuis que Lise est apparue en proie consentante. Au début, nos conjoints se sont rapprochés, embrassés, et nul ne doute que derrière le dossier qui nous les cache des mains explorent. Anaïs vérifie que je bande. Je teste son humidité. Devant, la tête de Valériane a disparu. Je l’imagine emboucher la bite de son amant et le préparer. Et puis elle réapparaît et c’est lui qui s’y colle. Cunnilingus, je t’adore. La vidéo se termine. Automatiquement, le projecteur se met en veille, ne laissant qu’une lumière blafarde mais qui se réfléchit encore sur l’écran brillant. Ils ont disparu. Deux jambes reviennent et une culotte de femme retombe à terre. Valériane est allongée. Une jambe repose sur le canapé ; l’autre, ouvrant les cuisses de façon généreuse, repose sur le dossier. C’est ce que nous constatons en nous levant discrètement. Alban ne nous voit pas alors qu’il est tout occupé à pousser son gland dans la fente, avant-garde de la hampe qui est comme aspirée. Valériane ferme les yeux. Alban s’active. Le canapé grince et ma femme pousse son ventre en avant. En deux temps trois mouvements nous nous déshabillons. Alban a encore son pantalon et sa chemise débraillée. Ma femme a conservé sa robe. On l’imagine remontée et froissée sous elle. Je pousse Anaïs afin qu’elle s’appuie contre le dossier du canapé. Je veux être au plus près de ma femme et voir sur son visage une jouissance qui n’est pas de mon fait. Et qu’elle nous voie également. ...