1. Le dégel


    Datte: 20/01/2019, Catégories: fh, extraoffre, amour, Oral pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession,

    ... ses esprits, et c’est seulement qu’elle se rend compte que cela ne peut être ni Alban ni moi qui l’avons menée au paradis alors qu’elle nous tenait ferme. — Anaïs, tu triches ! Ce n’est pas du jeu !— Tous les coups sont permis. Tu as perdu. Tu t’es trompée presqu’à chaque fois (en réalité, ce n’est pas vrai) et tu vas avoir un gage.— Mon mari… Viens à mon secours ! me supplie en riant notre déesse alanguie.— Oh, que non ! Je m’amuse trop.— Salaud…— Friponne ! Mais Anaïs n’en a manifestement pas fini, et heureusement car mon complice et moi bandons toujours. Elle fait allonger ma femme sur le canapé, et la première chose qu’elle fait est d’aller s’accroupir sur son visage, lui offrant, cuisses largement ouvertes, la monnaie de sa pièce. La suite est un ballet. Alban d’abord qui va soulever les jambes de mon épouse et glisser son mandrin dans la fente onctueuse. Combien de temps lui faut-il pour éjaculer en elle ? Je ne sais pas car le spectacle me ravit. L’homme qui baise ma femme voit sa propre épouse se balancer délicatement sur le visage, ce qui est propice aux caresses intimes. Ma femme gronde du plaisir reçu, du plaisir donné. Sait-elle qui la baise? Je le lui demanderai tout à l’heure car finalement, dans ces conditions, une femme peut-elle faire la différence ? Sait-elle que c’est ma queue impatiente qui prend la suite ? Une queue si dure qu’elle en est douloureuse. Une queue résistante qui patauge dans le foutre de son amant. C’est d’une ...
    ... perversité qui me fait comprendre Louis lorsqu’il vient fourrer sa femme après que d’autres en aient profité sous ses yeux. Le gargouillis est délicieux. Je n’accélère que lorsque je vois Anaïs jouir sous les caresses de son esclave d’un moment. Alors, après qu’elle ait libéré le visage de ma femme, je lui enlève le masque et c’est les yeux dans les yeux, en communion parfaite, que j’éjacule dans son ventre. Chacun est silencieux. Chacun a conscience que dans cette pièce nous venons de vivre un moment parfait. Une première fois. Un échange. Un mélange. Chacun doit penser aussi que ce ne doit pas être une fin, mais un début. En tout cas, moi je le pense, et Valériane certainement aussi. Soudain la sonnerie d’un téléphone nous surprend. C’est celui d’Anaïs qu’elle avait posé sur une table. Elle décroche, mais avant même qu’une voix lui réponde on la voit blêmir. Le nom du correspondant lui est familier. — Oui ? C’est toi, chéri ?— …— Mais tu ne devais rentrer que demain… Tu m’as cherchée ? Où je suis ? En cachant le téléphone avec sa main, elle nous dit doucement : — C’est mon mari. Son mari ? Mais alors, ce n’est pas Alban ? Je comprends maintenant pourquoi sur le papier des analyses, les noms étaient différents. Sur le moment, j’ai pensé qu’Anaïs avait gardé son nom de jeune fille. La remarque de Louis à son sujet me revient. Il a raison : elle n’est sûrement pas aussi sage qu’elle le paraît. Un amant… Et puis cette manière de nous guider… [à suivre] 
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