1. Le dégel


    Datte: 20/01/2019, Catégories: fh, extraoffre, amour, Oral pénétratio, fsodo, échange, yeuxbandés, confession,

    ... l’heure, maintenant je me rattrape. Lorsque je me déverse dans cette gorge que je viens de baiser pendant de longues minutes, c’est une Anaïs épuisée que je regarde. Son visage n’est qu’un champ de bataille où salive, foutre et larmes ont tracé des sillons. Ses oreilles sont rougies de la pression de mes mains qui la guidaient, qui la forçaient à encore mieux m’accueillir. Ses tétons doivent aussi être douloureux, tellement je les ai tirés, tordus, pressés. Un instant je me demande si je n’ai pas été trop loin. Mais elle se redresse et me sourit. De la salle de bain je rapporte une serviette et j’efface avec tendresse les traces qui maculent son visage. Elle semble touchée de cette attention. Le « Merci » qu’elle me donne, je le prends autant pour ma rudesse d’avant que ma douceur actuelle. Nous refaisons l’amour. Plus calmement, plus longuement, lui laissant toute latitude pour accumuler les jouissances en contrôlant ses envies. Envie de me chevaucher longuement, profitant de ma bite dure et infatigable, frottant son bouton alors que moi je lui caresse les seins et martyrise encore ses tétons. Envie que je la suce, sa fente encore ruisselante de mon jus, m’étouffant de tout son poids, transformant ma bouche et ma langue en appendices sexuels qu’elle utilise à sa guise. Et enfin me demandant de la finir, calmement allongée avec moi sur elle, en tranquille père de famille qui honore madame, mais une madame dont les cuisses emprisonnent la taille et me captive alors que dans un ...
    ... dernier gémissement elle jouit à nouveau. C’est bon, et je remercie ma femme d’avoir demandé ces analyses ; oui, c’est bon d’éjaculer dans une grotte qui ruisselle de son plaisir et que mon foutre vient abonder en giclées sublimes. _____________________ Le lendemain matin, Anaïs est lovée contre moi. Je sens son corps contre le mien. Je me retourne. Elle dort encore. Elle est chaude de la nuit. Je bande de la voir alanguie, elle qui s’est effondrée après l’amour sans même faire une toilette. Quel cadeau magnifique à un amant, cet épuisement des sens ! Délicatement, je passe ma main entre ses cuisses. La peau est tendre, et par endroits nos liqueurs ont séché. Naturellement, elle tourne sur le dos et ses cuisses s’ouvrent. Est-elle encore endormie ou bien déjà provocatrice ? Peu importe, son intimité m’attire. Je suce, lèche, déguste ce que la Nature nous a offert cette nuit. Elle ne peut plus cacher son trouble. Ses mains guident mon visage. Je suis à nouveau son fournisseur de plaisir. Elle gémit lorsque la jouissance arrive. Dès qu’elle me libère, je viens la couvrir et mon vit prend possession de cette grotte si accueillante. Je la baise lentement mais veux jouir assez vite. Le matin n’est pas propice aux longues baises. J’éjacule, et c’est bon. À la cuisine, Valériane et Alban sont déjà en train de prendre leur petit déjeuner. Valériane porte la même nuisette qu’Anaïs mais en rouge. Nos femmes ont des idées qui sont de vrais enchantements. Alban est en tee-shirt et short ...
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