Le dégel
Datte: 20/01/2019,
Catégories:
fh,
extraoffre,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
échange,
yeuxbandés,
confession,
... menaces, s’il vous plaît. C’est Valériane qui parle. Manifestement, ils sont revenus et nous ne les avons pas entendus. En tout cas, la menace tombe à l’eau. Elle reprend : — Bon, d’accord, ils ont été indélicats et n’auraient pas dû regarder dans l’ordi. Mais je peux vous assurer de notre totale discrétion. D’ailleurs mon mari vous a bien dit qu’il n’avait rien copié.— Mais… Valériane coupe la parole à l’homme : — D’ailleurs, pour votre information, sachez que c’est grâce à vous et aux vidéos qu’ils ont regardées que nous venons de passer tous les quatre une nuit d’enfer.— Alors, si les exploits de ma Lise chérie fait des émules…— Restez donc manger avec nous, vous prendrez la route après. Et on se retrouve six à table. Mais au bout d’un moment Valériane demande : — Je peux vous poser une question ? Si cela vous gêne, dites-le-moi, je ne voudrais pas vous mettre mal à l’aise. C’est Valériane qui parle en questionnant Louis, le mari de notre formatrice, toujours un peu en retrait. C’est étonnant d’ailleurs alors que nous la connaissons très bonne pédagogue et avec de la "présence". — Pas de problème. Que voulez-vous savoir ?— Voilà, je me demandais si vous aviez toujours été comme cela.— Comme cela, quoi ?— Candauliste. C’est bien ce que vous êtes, si j’ai bien compris.— Ah, ça, ce n’est pas un secret ; enfin, pas pour vous qui savez… En réalité, seulement depuis dix ans. N’est-ce pas, chérie ?— En réalité, douze. Depuis l’été 2004.— C’est vrai. Tu te souviens ? Année ...
... difficile où j’avais fait le con et que tu t’étais vengée en couchant avec Pierre.— Parfaitement. Mais c’est oublié.— Donc on avait décidé d’essayer de recoller les morceaux et on était parti en vacances, seuls, au bord de l’Atlantique en louant un bungalow. On a voyagé toute la nuit, à midi on était sur la plage. Lise s’était acheté un petit deux pièces…— Oh, je l’ai toujours. Un petit triangle sur chaque sein et un autre à peine plus grand sur le minou. Tout le reste en ficelle.— Bandant. Au point qu’au bout de 30 minutes j’avais envie de baiser.— Pas seulement à cause de mon maillot ; celui des autres aussi !— Tu as raison, chérie. Donc je l’entraîne derrière la dune dans le bois, et on commence notre petite affaire. On n’avait pas de serviette et je prends Lise en appui contre un arbre. Et à un moment j’entrevois un gamin – en réalité il avait 20 ans – qui nous regardait. Il se branlait. Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais au lieu de le chasser je lui ai fait signe de s’approcher. Il s’est terminé à côté de nous, un peu en retrait, et Lise ne l’a pas vu. Le lendemain, rebelote. Il faut dire que sa présence m’avait vachement excité. Mais cette fois-là il s’était avancé assez pour que Lise le voie.— Et toi, Lise, qu’est-ce que tu as pensé ?— Pas grand-chose sur le coup. Le gamin a craché sa purée et a continué de nous regarder pendant que Louis me faisait jouir. C’est le lendemain et le surlendemain que cela a vraiment changé. Le lendemain, Louis m’a demandé de le branler. Le ...