1. Un certain jeudi


    Datte: 20/01/2019, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail grossexe, noculotte, Oral pénétratio,

    ... changer d’avis ?— Tu ne peux pas me reprocher d’essayer, mais je crois que c’est mal parti. Figure-toi que je t’aime, moi !— Moi aussi, je t’aime, mais autrement !— Je ne pige plus rien… Je t’aime, tu m’aimes, mais ça ne suffit pas ? C’est alors que je m’aperçois que je tiens plus à ma femme que je ne le pensais, même si certains jours je souhaitais qu’elle fasse sa valise et qu’elle parte loin, très loin. — Tu as raison, André, on en reparlera calmement demain midi, quand je serai de retour. Je pense partir d’ici vers huit heures. Allez, faut que je te quitte. Gros bisous !— Je suis un peu paumé, tu sais, Anaïs.— Tout ne se passe pas toujours comme tu le souhaites. Ne t’inquiète pas, je n’ai pas prévu de lâcher comme ça ! J’ai toujours une grosse affection pour toi !— Grosse affection, grosse affection… c’est ton amour que je veux !— Tu es un sale gosse. Tu veux ; et moi, qu’est-ce que je veux ?— Toi, c’est moi que tu veux ! Je te veux, tu me veux, et tout est parfait.— On en reparlera demain, d’accord ? D’ici là, passe une bonne journée, André !— Je sens qu’elle va être bizarre, ma journée ! Allez, bonne journée à toi aussi, quand même ! Un peu démoralisé, je coupe la communication. Au moins les choses sont claires, je suis fixé. Je pars tôt travailler, histoire de m’étourdir dans le boulot. Je consulte les divers dossiers ; ils sont bien remplis par ma secrétaire. C’est alors que je me traite de con : j’ai le parfait remède à ma sinistrose ! Je m’empare aussitôt d’une ...
    ... chemise vierge, je trace en gros caractères sur une feuille vierge un texte impératif : « Enlevez votre culotte. » Puis je glisse la feuille dans le dossier que j’intitule Neponty ; je pense que l’allusion sera vite comprise par Sylvie. Je vais dans le bureau de ma secrétaire ; elle n’est pas encore arrivée. Je pose le dossier sur son bureau ; je sais pertinemment que personne d’autre qu’elle ne l’ouvrira. Puis, satisfait, je repars dans mon bureau. C’est vrai, j’ai un splendide jouet à ma disposition ; autant en profiter ! C’est alors que je songe aux propos de ma femme, sur mon côté mâle alpha. Il doit y avoir du vrai. Mais je pense que Sylvie aime ce genre de rapport, sinon elle n’aurait pas cédé dimanche et hier, elle n’aurait pas été aussi docile. Car c’est bien de la docilité, de la soumission à laquelle j’ai eu affaire. Et non pas parce qu’elle avait peur pour son emploi. J’ai bien vu à chaque fois son regard et son envie. Soudain, le téléphone sonne. C’est à nouveau ma femme qui m’appelle. Je plaisante à ma façon : — Tu n’arrives plus à te passer de moi ?— Gros malin ! Non, je téléphonais pour te dire que samedi soir, je prends l’avion pour le Portugal.— Ah ? Il est arrivé quelque chose à tes parents ?— Oui et non… je t’expliquerai quand on se verra demain. J’ai besoin de prendre un peu de recul, tu comprends ?— Seule ou accompagnée ?— Il y a des questions qu’on ne pose pas, André, même si je comprends parfaitement ta position. Je te propose un deal, mon cher mari.— Mari ...
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