1. Un certain jeudi


    Datte: 20/01/2019, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail grossexe, noculotte, Oral pénétratio,

    ... ? Je me pose la question.— Avoir un mari n’empêche pas les amis plus ou moins proches. Je soupire bruyamment : — Y compris les très très proches… Bon, c’est quoi ton deal, Anaïs ?— Intéressé ou curieux ? Voici mon deal : que la semaine prochaine soit une parenthèse pour toi comme pour moi.— Euh… c’est-à-dire ? Je suis mauvais pour lire entre les lignes.— Peu importe ce qui se passera durant cette semaine pour toi comme pour moi : ni toi, ni moi n’y ferons allusion par la suite. OK ?— Ah ! Je commence à comprendre pourquoi tu es si efficace en affaires ! Je te fais mes excuses pour l’histoire du décolleté. Elle rit doucement. — Merci de reconnaître mes talents. Alors ?— Quelque chose me dit que je n’ai pas trop le choix…— Peut-être, mais reconnais que c’est avantageux pour toi…— Surtout pour toi. C’est vrai que ça peut être positif pour moi… Je peux réfléchir un peu ? Je te donne ma réponse au plus vite. Je peux te contacter où ? Elle me communique un numéro de téléphone. Je la remercie et nous nous séparons. Eh bé, la journée est bien partie : ça va nettement plus vite que je ne l’aurais cru. Je sais bien que les années quatre-vingts dans lesquelles nous vivons sont permissives, mais ma femme y va franco ! L’interphone sonne, on m’appelle dans l’atelier ; il faut que j’aille voir. Ça me prend une bonne heure, et j’ai loupé l’arrivée de ma secrétaire. Tant pis, demain elle reviendra, ce n’est que partie remise. Quand je reviens dans mon bureau, je croise ma secrétaire, vêtue ...
    ... d’une jupe et d’un débardeur que j’aurais aimé être plus léger, mais il est vrai que nous sommes dans une entreprise. — Bonjour, Monsieur.— Bonjour, Sylvie. Pour info, ma femme rentre demain vers midi, je pense, et avec divers contrats.— Tant mieux pour la boîte !— Oui, mais ça vous fera plus de dossiers à traiter…— Ah, Monsieur, en parlant de dossiers, j’ai mis votre dernier dossier sur votre bureau. Et elle se sauve littéralement, sans que je n’aie pu réagir. Assez intrigué par sa réaction, j’entre dans mon bureau. En effet, le dossier Neponty trône en évidence. Je m’assieds, j’ouvre le dossier en question. Et je découvre dedans, posée bien à plat, une petite culotte noire ! Je m’en empare, je la porte à mon nez. Oui, c’est indéniablement son odeur… C’est un dossier que je sens que je vais beaucoup aimer ! Je laisse passer un peu de temps, je vaque à diverses occupations, puis estimant qu’un délai approprié est maintenant écoulé, j’appuie sur le bouton de l’interphone : — Sylvie, pourriez-vous venir ? J’ai besoin de vous.— J’arrive dans deux-trois minutes, le temps de clôturer mon dossier en cours.— Pas de problème, je peux attendre un peu.— Merci, Monsieur. Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre sur ma secrétaire. — Me voici. Que puis-je pour vous ?— Me faire voir si vous avez bien ôté votre culotte ! Elle rougit, mais elle remonte petit à petit le bas de sa jupe vers le haut, me révélant une adorable chatte dans laquelle j’ai déjà été me perdre. — Que c’est mignon ! ...
«1...345...10»