Un certain jeudi
Datte: 20/01/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
grossexe,
noculotte,
Oral
pénétratio,
... Tendant le bras par-dessus mon bureau, j’interviens, mettant les pendules à l’heure : — Non, non, pas si vite ! Cette directive n’est pas encore passée, à ce que je sache.— Oui, mais elle risque de passer !— Elle risque de passer… Elle risque, comme vous dites ; c’est surtout votre syndicat qui le souhaite, mais je vous rappelle qu’il est minoritaire sur ce coup. Aux dernières nouvelles, les autres ne suivent pas. Mon délégué syndical tire la tronche. Il croyait quoi ? Que je ne suis pas au parfum de ce genre de chose ? Sylvie est toujours entre mes jambes, figée, immobile. Quelle situation à la con ! Je me demande ce qu’il se passerait si mes deux gugusses la découvraient ! Néanmoins, le risque me donne des idées saugrenues. J’écarte les jambes et fais un signe discret sous mon bureau, désignant mon sexe. Je continue à écouter ce que mes deux employés ont à me dire, posant de temps en temps diverses questions pour mieux cerner les choses, même si je m’en fous un peu car une bouche pulpeuse est en train de me sucer voluptueusement ! Et c’est diablement bon ! Néanmoins je continue à poursuivre la conversation, mais il faut que je me débarrasse de ces deux employés : ils sont devenus un peu gênants, surtout avec ma secrétaire qui me fait une gâterie sous le bureau. — Vous savez que c’est ma femme qui s’occupe de tout ce qui est RH…— Oui, mais elle est partie à un salon.— Elle sera là demain en fin de matinée et en début d’après-midi. Mais dépêchez-vous, car la semaine ...
... prochaine, elle s’absente.— Ah, bon. Donc, on voit avec elle.— Oui, voyez avec elle d’abord, et ensuite venez me revoir la semaine prochaine.— D’accord. Ils sont enfin partis. Ouf ! Je commençais à trouver le temps long, même si j’adore me faire sucer par une secrétaire quasiment nue et nichée sous mon bureau, le fantasme de la plupart des dirigeants ! Il faudra que nous le refassions, elle et moi, et au plus vite ! — C’est bon, Sylvie, vous pouvez sortir. Elle sort à quatre pattes puis elle se redresse, un peu ankylosée de son séjour sous le bureau. Ma secrétaire me reproche gentiment : — Vous aimez jouer avec le feu !— Pourquoi ?— Me demander de vous sucer alors qu’il y avait du monde dans le bureau.— C’est vrai, mais je vous signale que vous n’étiez pas obligée d’obéir. Ma secrétaire se fige, me regardant fixement. Sans lui laisser le temps de réagir, je la prends dans mes bras et je la plaque contre moi. — Mais j’ai beaucoup apprécié que vous obéissiez ! Et après, vous direz que je suis un gros satyre, un gros profiteur ! Et pour conclure ma phrase, je l’embrasse. Elle se laisse faire ; elle répond même à mon baiser. Je ne peux pas mieux espérer : cette femme est à moi, pour moi. À moi de savoir faire fructifier cette terre fertile et je ne suis pas mauvais, en jardinier ! La soulevant, je la dépose sur le bord de mon bureau, puis quittant ses lèvres à regret, je l’invite à se coucher carrément dessus. Elle proteste mollement : — Et si quelqu’un venait ?— Vous avez raison ; je ...