Un certain jeudi
Datte: 20/01/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
grossexe,
noculotte,
Oral
pénétratio,
... Très mignon ! Approchez un peu… encore plus… allez… Quand elle est suffisamment près de moi, je la capture d’un bras, l’attirant prestement à moi. Elle pousse un petit cri étouffé que je trouve très sexy. Me penchant, je plaque un premier baiser sonore sur son pubis tout doux. J’en profite pour lui caresser les fesses qu’elle a nues à présent. Elles sont toutes douces, elles aussi. Un vrai plaisir ! Puis je relève la tête, soulevant son débardeur pour venir embrasser son ventre tout rond qui frémit sous mes lèvres. Puis me redressant, j’ordonne : — Enlevez-moi tout le haut, débardeur et soutif !— Là, ici ?— Oui, là, ici ! Peu après, deux objets tombent sur mon bureau. Aussitôt je m’empare de ses seins que j’embrasse, que je caresse, que je suce, que je dévore, et elle a l’air d’apprécier beaucoup ce que je lui fais ! Ma chère secrétaire est une garce qui s’ignore, et je suis là pour la révéler à elle-même ! — Y’a pas à dire, vous avez tellement de bons morceaux que je ne sais pas du tout par où commencer !— Ça serait bien la première fois que vous avez un problème d’initiative !— Eh bien, je prends tout d’un seul coup ! Et je plonge mon nez dans ses seins, tout en pelotant ses fesses. J’en profite pour déboutonner ma braguette pour venir me frotter impudiquement sur cette petite chatte si tentante. Dieu que c’est bon, des nichons, un cul, une chatte, et tout ça pour moi, rien qu’à moi ! C’est alors que je vois des ombres s’animer à travers la vitre dépolie de ma porte. ...
... J’entends aussi diverses personnes venant par ici. Je reconnais une voix. — Et merde, c’est Masclet, le délégué syndical ! Et il n’est pas seul ! Sylvie est paniquée, et ça se comprend, vue sa tenue, ou plutôt son absence de tenue. — Mais… mais je fais quoi ?— Pas le temps. Mettez-vous sous mon bureau, et n’en bougez plus ! Aussitôt elle obéit et se glisse dans cette sorte de niche. Normalement, on ne devrait pas la voir : il y a un panneau devant mon bureau. C’est alors que je réfléchis à un point de détail. — Évitez de faire dépasser vos chaussures ou vos mains !— B-bien, Monsieur ! Je ramasse son débardeur et son soutien-gorge que je range en vitesse dans le premier tiroir qui me tombe sous la main ! À peine ceci fait qu’on frappe à ma porte. Le plus calmement possible, je réponds : — Oui ? Entrez ! La porte s’ouvre. Masclet et Javis se présentent face à moi. Le délégué prend aussitôt la parole : — Bonjour ; on a un problème, Monsieur André.— Bonjour. Quel problème ? Prenez un siège et racontez-moi tout. Ils s’exécutent et se lancent à tour de rôle dans diverses considérations sur la pénibilité du travail. Je dois reconnaître que ça me passe un peu par-dessus la tête, vu la situation incongrue : ma secrétaire à moitié nue qui doit se cacher sous mon bureau tandis que deux employés me causent ! On se croirait dans un mauvais vaudeville ! — Et puis la nouvelle directive du gouvernement concernant les personnes de plus de cinquante ans exige que celles-ci soient dispensées de… ...