1. Un Maître asservi (3)


    Datte: 21/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... venus installer le matériel que j’ai acheté à la place de la salle de sport, et j’ai vidé un placard pour en faire ta niche à jamais. J’ai aimé sentir leur bite en moi, pour paiement des travaux et en attendant plus, alors que tu me snobes depuis si longtemps. Et plus jamais tu ne pourras utiliser ton petit tuyau. Jamais tu l’entends tu ne jouiras plus. J’étais trop bête pour m’abandonner à toi, tu ne mérites qu’un mépris profond, et tu vas le regretter. Ton compte en banque est sérieusement écorné, mais tu n’en verras plus jamais la couleur, je te le promets. Toi qui te stressais tant pour l’argent, tu n’as plus qu’un stress à avoir, ne pas me déplaire, même légèrement. Je vais t’apprendre à souffrir en permanence et de façon exponentielle que tu n’aies aucune accoutumance. Finalement c’est nos vies rêvées, moi jouissant de la vie, de ton argent si bien gagné depuis des années, je vais sans doute arrêter mon travail inutile, baisant les hommes et les femmes qui me plaisent, je suis si jeune et si sensuelle comme tu dis. Et servie par un esclave aux ordres, prêt à tout, qui fera de moi une reine dans le milieu sm. Peut-être que je divorcerai pour le remarier, te mettant à la rue sans rien, si tu me déplais. Parce que d’ici quelques moi tu n’auras plus rien à toi, même plus un compte en banque, tu seras en total dépendance. Si tu as un doute, rappelle-toi que j’ai tenu toujours toutes mes promesses, en tant que soumise et en tant que ton interlocutrice mystère ! Et si tu ...
    ... crois m’aimer, tu vas voir la dévotion qui sera la tienne dans quelques mois, une dévotion panique c’est vrai, mais définitive et absolue, tu n’existeras que par et pour moi.» Mon esprit s’effondrait progressivement. L’image de ma tourmenteuse et celle d’Isabelle fusionnaient petit à petit. Cela dépassait mes capacités cognitives du moment. Comment avais-je pu ainsi ne me rendre compte de rien ? Ce qui me frappait le plus c’est le ton d’Isabelle. Une voix que je n’aurais jamais reconnue, si posée, si basse. Une voix qui m’excitait diablement, je devais bien l’admettre. Cette situation faisait disparaître toute trace de culpabilité vis-à-vis d‘elle, je me sentais stupidement dans un confort extrême, entre de bonnes mains, car je savais qu’Isabelle était quelqu’un de bien, sans me douter le moins d’un monde que j’avais ouvert la boite à Pandore. Ses mot résonnaient en moi, c’est vrai qu’en tant que Maître, j’étais dur, mais je m’adaptais à chaque instant à ce que ma soumise désirait, c’était une dureté de façade, incapable en fait d’exprimer mes véritables désirs qui n’étaient en rien ceux de la domination. Ce que j’avais vécu la nuit précédente de sa part n’était pas pour me faire plaisir, mais pour exhaler sa violence et parce qu’elle le désirait. Le coup de pied entre mes cuisses me pris par surprise, je m’écroulais le souffle coupé, Isabelle recommença à plusieurs reprises, pour me mettre k.o. J’appris que le programme des deux mois pour me briser commençait maintenant. Je ...
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