1. Un début


    Datte: 21/01/2019, Catégories: f, Collègues / Travail cérébral, vidéox, Masturbation jouet, confession,

    ... mes mains descendent irrémédiablement vers ma minette et j’astique mon petit bouton qui se met très vite à gonfler et je jouis à en perdre haleine. Parfois, même mes deux mains ne suffisent plus. J’ai bien senti que mes besoins avaient augmenté dernièrement ; alors, ni vu ni connu, j’ai fait mes emplettes sur Internet et fait chauffer la carte bleue. J’ai repensé aux tenues de Solange, et tout y est passé : commandes de petites tenues affriolantes et lingerie fine, et puis et surtout, dans un état d’excitation avancé, je me suis commandé un énorme gode rose ; et en traînant un peu, j’ai aussi commandé des petites boules de geisha qui avaient la faveur du public sur le site. Maintenant, tous les soirs, ma minette attend sa ration, et dès que je suis sur le lit je me mets sur le dos, je relève mes jambes jusqu’à avoir les genoux au niveau des épaules, j’écarte tout grand les cuisses et je commence à sucer mon nouveau joujou rose avant de me l’introduire tout doucement entre mes lèvres trempées de mouille pour me faire jouir dans un bruit très excitant de succion. Mon Dieu, que c’est bon ! Je peux pas m’empêcher de couiner lorsque l’orgasme arrive. Je me sens devenir une cochonne au fur et à mesure des jours qui passent, et chaque fois que je sors dans la rue ou que je suis au boulot j’ai l’impression que les hommes peuvent lire sur mon visage toutes les envies de baise qui m’envahissent. Chaque matin, avant de partir, je prends les petites boules de geisha que je lèche avant de ...
    ... me les mettre tout au fond de la chatte et je sélectionne la tenue la plus courte possible pour qu’une fois assise tout le monde puisse voir que je porte des bas blancs que je me suis commandés. Je veux que les hommes qui me plaisent sachent que je ne suis plus comme avant, que je suis une femme qui a des envies de salope. Au boulot, dès que je suis assise et que je suis seule avec certains collègues mignons, j’écarte sans en avoir l’air les cuisses devant eux, et je me suis aperçu que parfois une bosse se forme peu à peu sous leur pantalon ou qu’ils se mettent à bégayer ou à changer de position soudainement. Hier, remontée à bloc, j’ai recommencé mon manège devant un collègue que je trouve attirant. — Eh ben ! Il y a quelque chose qui ne va pas ?— Si, si ça va ! Pardon, excuse-moi c’est que…— C’est que quoi ?— Rien. On dirait que depuis quelques semaines tu n’es plus la même.— Je ne suis plus la même, tu as raison ; mais qu’est-ce qui te fait dire ça ?— Rien. Tu es… enfin, je veux dire… tu es…— Tu peux dire franchement les choses, tu sais ! Tu aimes ce que tu vois, c’est ça ? Vas-y, te gêne pas ! En disant ça j’ai écarté encore un peu plus mes cuisses pour qu’il voie encore mieux ma culotte sous ma jupe ultra-mini relevée au maximum. — Je te voyais vraiment pas comme ça. Il a déchiré un petit bout de papier de son bloc-notes et a écrit quelque chose dessus puis il s’est approché de moi, a pris ma main et a mis le papier dedans puis, lorsqu’il a mis ses mains sur mes épaules ...
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