Un début
Datte: 21/01/2019,
Catégories:
f,
Collègues / Travail
cérébral,
vidéox,
Masturbation
jouet,
confession,
... et que j’ai senti qu’il allait m’embrasser, je me suis écartée au dernier moment. — OK, je vois. Tu veux pas qu’on nous voie ici ; alors si tu veux, on peut se voir à un autre moment. Ce soir, je peux pas mais si tu veux on peut se voir ce week-end, je suis pas d’astreinte.— Oh, tu crois ? Je sais pas trop ! Je sais pas si je veux, mais je veux bien que tu me regardes.— T’es conne ou quoi ? Tu donnes envie et ensuite tu dis que tu sais pas si tu veux ! Tu te fous de ma gueule ? T’es une allumeuse, c’est ça ? Non, je sais ce que t’es : t’es une pisseuse !— Non, je suis pas conne ni ce que tu dis ! T’as rien compris ! Laisse tomber ! Et pis merde, quoi, j’ai pas que ça à faire ! J’ai des rendez-vous tout l’après-midi ! Je me tire ! Salut !— C’est ça, ouais ! Tire-toi !— Ouais, ouais ! Je m’en fiche de ce que tu dis ! T’as compris ? Je m’en fous ! Une pisseuse moi ? Pfff ! Tant qu’à faire je préférerais encore le mot allumeuse. Quelle conne j’ai été, il a raison ! J’ai vraiment l’impression de revenir en arrière. Je peux pas laisser passer ce coup-là, merde ! Ma timidité va encore tout foutre par terre. Qu’est-ce que je fais, j’y retourne ? Non ! Tant pis ! Terminé pour aujourd’hui et puis j’ai du boulot. Premier rendez-vous puis deuxième, puis tous les autres rendez-vous, j’en peux plus ! Je repense à ses yeux braqués sur ma culotte et j’arrive pas à me concentrer. La fin de la journée approche. Je rentre enfin, heureusement car je sens que ma culotte est trempée à tordre à ...
... force de penser que j’ai osé écarter mes cuisses et que j’ai montré ma culotte comme une salope pour faire bander un mec… Je ne peux pas rester comme ça : il faut que je me fasse jouir. Je referme la porte de chez moi et direct, sans attendre, je passe ma main sous ma culotte et je plonge dans ma chatte pour retirer mes boules qui sont toutes gluantes de mouille. Mon protège-slip est lui aussi dans un sacré état. Allez, poubelle ! Je regrette que mon joujou rose soit au lavage, mais tant pis ! Deux doigts sont déjà en train d’écarter mes lèvres hypersensibles, et en deux temps trois mouvements ils sont sur mon clitoris ; et là je craque, je gémis, je jouis. Je me mords les lèvres pour ne pas crier, et dans ma tête tous ces mots qui me viennent :« Je suis une petite cochonne, une belle petite salope. Je suis en chaleur et je sais que maintenant un homme au moins le sait aussi. Je commence à devenir comme les filles des films, à faire comme elles, et je n’arrive plus à m’en empêcher. » Je suis tellement trempée que je prends une autre culotte et que je mets une serviette pour éviter que les grandes eaux la mouillent elle aussi. Il faut que je retrouve le petit papier que j’ai froissé pour voir ce qu’il y a dessus. Mais où est-il ? Qu’y a-t-il écrit dessus ? Son numéro ? « Je t’aime », ou pire ? Après un instant de panique à penser que je l’ai perdu, je le retrouve, et c’est son numéro de portable qu’il y a écrit dessus. Il faut que je fasse quelque chose pour récupérer le coup, et ...