Je serai la femme d'un homme riche...
Datte: 13/08/2017,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
noculotte,
Masturbation
pénétratio,
policier,
aventure,
... grosse bite et le cul de la vache qu’il est censé vacciner à celui de sa femme. On ajoutera à cela les bas résille, le porte-jarretelles rouge vif, la minuscule jupe de cuir, les talons vertigineux, et le fait que Sophie semble particulièrement apprécier le traitement qui est le sien, se tenant au bâti de la porte de l’étable, les reins cambrés à l’extrême, sans se préoccuper qu’on puisse très bien la voir, les photos en étant d’ailleurs la preuve. —ooo0ooo— La séparation du couple est prononcée à peine deux mois plus tard et, comme c’est le cas dans la plupart des divorces, Sophie obtient la garde des enfants. L’argent ne posant de nouveau plus de problème, Luc lui verse bien évidemment une pension alimentaire princière, mais le train de vie de la blonde est tel qu’elle n’arrive pas à joindre les deux bouts, même en y ajoutant le salaire que Rossi continue à lui verser, alors qu’à sa demande elle ne se rend plus à la clinique qu’un jour sur deux. Un autre détail la choque : on a recommencé à l’appeler Mademoiselle, et cela elle ne le supporte pas. Elle profite donc de ce qu’une fois de plus son patron vient de lui en coller une tournée vertigineuse pour lui demander s’il ne lui viendrait pas à l’esprit de l’épouser. — T’épouser, toi ? Tu rigoles ! Tu baises bien, c’est vrai, tu es toujours prête à te faire tringler ; mais pour l’instant, c’est non. Devant la mine dépitée de Sophie, dans un accès de gentillesse dont le moins que l’on puisse dire – quand on connaît l’homme – ...
... est qu’il ne lui est pas habituel, il ajoute toutefois : — On en reparlera dans quelques mois. En attendant, on continue comme ça et on verra. —ooo0ooo— Seulement, des mois sont à nouveau passés et Sophie n’a strictement rien vu venir. Rossi continue de la farcir par tous ses orifices, mais sa réponse concernant un éventuel mariage est toujours la même : on verra. Et comme il n’est pas absolument nécessaire d’avoir fait de hautes études pour se rendre compte qu’il la mène en bateau, elle décide de passer au plan B. L’avocat qui l’a assistée pour son divorce s’appelle Claude Sade, est plutôt bel homme, très proche de la quarantaine rugissante, et comme elle il est divorcé. Il va sans dire qu’elle pense qu’il est également propriétaire du cabinet dans lequel il officie, sans quoi Sophie le trouverait à coup sûr nettement moins sexy et moins intéressant. Elle demande donc à le voir sous un prétexte quelconque et – Dieu sait comment elle s’y prend ! – dès le samedi soir ils deviennent aussitôt amants. Dès lors, Sophie se livre à un numéro de grand écart, au sens propre comme au sens figuré, avec les après-midis où elle travaille – enfin, si l’on peut appeler ça travailler – chez le docteur Rossi qui continue de la traiter à peu de chose près comme un pur objet sexuel, ce qui, à sa propre surprise, continue de ne pas lui déplaire… Parallèlement, elle passe une bonne partie de ses nuits avec son avocat qui, lui, est tout au contraire un exemple de courtoisie et de tendresse avec ...