Je serai la femme d'un homme riche...
Datte: 13/08/2017,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
noculotte,
Masturbation
pénétratio,
policier,
aventure,
... meuble placé sous l’imprimante dont il parle est plein à craquer de ramettes de papier de toutes sortes, puisque de temps à autre elles remplacent avantageusement les annuaires pour aider à faire se délier les langues, quand la caméra qui est censée rendre compte des événements est bizarrement en panne. Et la caméra en question, braquée sur la table, qui est là pour, en temps normal, enregistrer les dépositions des prévenus et théoriquement la façon dont elles sont obtenues, à la fois pour éviter les bavures toujours possibles – comme si c’était le genre de la maison – et pour qu’elles ne soient pas contestables, ne fonctionne naturellement pas dans le cas présent. Sophie reste alors seule dans cette grande pièce silencieuse. Enfin, elle le croit. Parce que ce qu’elle ne peut pas savoir, c’est que, derrière le grand miroir, le policier vient de mettre en marche toute la batterie d’autres caméras à haute définition qui sont toutes mieux dissimulées les unes que les autres un peu partout dans la pièce. Elles sont là dans un but précis : elles permettent à la brigade scientifique de savoir en temps réel si le suspect interrogé dit la vérité ou au contraire s’il ment. Une goutte de sueur, une main qui tremble, un geste fébrile, tout cela est presque invisible à l’œil nu et dans le feu de l’interrogatoire, mais est parfaitement observable dès lors qu’il est projeté sur un grand écran dans une salle où le calme règne en maître. Mais, dans le cas de notre commissaire, ce sont ...
... surtout les deux minuscules caméras cachées dans les pieds de la table qui l’intéressent. La chaise de bois n’est pas très confortable, Sophie est seule et elle se dandine régulièrement, exactement comme le policier l’espère depuis le début. Au bout de quelques instants, certaine de ne pas être vue, elle écarte donc légèrement les jambes, sans se soucier de sa robe, déjà très courte, qui vient de remonter encore un peu. Derrière la glace sans tain, Lemercier exulte, il vient enfin de voir apparaître ce qu’il espérait voir depuis le début. Enfin, pas tout à fait, dans la mesure où il était persuadé que la jolie blonde se promenait la chatte complètement à l’air, et qu’en fait elle porte quand même quelque chose sous sa robe. Oh, le triangle de tissu façon résille, de couleur blanche, ne mesure sans doute pas plus de quatre ou cinq centimètres de côté, et la pointe du bas disparaît d’ailleurs presque complètement dans l’intimité de la belle, dévoilant une bonne partie d’un abricot quasiment lisse. En zoomant un peu, il arrive même à discerner au travers de la résille une minuscule touffe de poils très courts, tout aussi blonds que ses cheveux. Elle ne se doute de rien, aussi continue-t-elle de se trémousser, tandis que le triangle ne cesse de s’enfoncer de plus en plus dans sa fente, et la qualité de l’image est telle qu’il arrive même à déceler les quelques traces d’humidité qui commencent à apparaître, sans doute causées par le frottement du tissu contre sa muqueuse intime. Même si ...