Je serai la femme d'un homme riche...
Datte: 13/08/2017,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
noculotte,
Masturbation
pénétratio,
policier,
aventure,
... et je ne vois pas alors ce que je pourrais vous refuser… Le dénommé Joseph sourit. Oui, en effet, cela pourrait être comique de l’épouser, puisqu’elle lui a permis de faire signer pas mal de contrats. Il faut croire que dès que les hommes aperçoivent la petite touffe blonde qui surplombe sa chatte, leur cerveau ne fonctionne plus tout à fait normalement, et c’en est à se demander ce qui se passerait si elle acceptait de coucher avec eux. Par contre, son cerveau à lui, il fonctionne encore, et plutôt bien. — Il est encore trop tôt pour en parler, mais qui sait ? Un jour peut-être… Les choses auraient pu en rester là pendant de longues années encore lorsqu’un petit détail va venir totalement foutre en l’air ce subtil édifice. Sophie, qui a fini par presque oublier qu’elle voulait absolument devenir l’épouse d’un homme riche, continue son petit train-train, passant avec une belle régularité du rôle de mère le matin à celui d’assistante vide-couilles ou, tout au contraire, de maîtresse vénérée l’après-midi, et enfin de strip-teaseuse le soir. L’argent coule à flots, même si de temps en temps le fait de continuer à signer ses chèques de son nom de jeune fille lui pèse un peu. Alors qu’un après-midi comme tant d’autres elle se promène en ville en faisant du lèche-vitrines, elle remarque devant un grand hôtel deux voitures de luxe qui lui semblent familières. Poussée par la curiosité, elle entre dans le grand hall où un portier s’empresse de lui proposer ses services. — Je viens ...
... d’accrocher cette Porsche, lance-t-elle en montrant l’une des deux autos, et je pense que son propriétaire doit être ici. Pourriez-vous me dire où je peux le trouver ? Le maître des clés lui montre alors à l’autre extrémité du hall une grande banquette où trois hommes semblent en train de discuter autour d’une table basse. Dans un premier temps, elle croit avoir la berlue ; mais non, il y a bel et bien là ses trois amants, en pleine conversation. S’agirait-il d’une coïncidence ? Non, bien sûr, ce serait tout bonnement incroyable. Elle s’approche alors lentement, faisant attention à ne pas se faire remarquer, en se cachant derrière les immenses colonnes de marbre pour ne pas être vue. Elle finit par être à quelques mètres à peine de la banquette où ils se trouvent, si proche d’eux qu’elle entend nettement leur conversation alors qu’aucun d’eux ne l’a remarquée. — Et alors, Sophie, elle est toujours pareille avec toi ? demande l’un.— Quelle baiseuse elle fait ! répond l’autre.— Je n’arrive toujours pas à m’habituer à la façon dont elle me suce ! ajoute le troisième. Sophie s’est toujours demandée comment il lui a été – et lui est toujours – aussi facile de passer de l’un à l’autre de ses amants sans que jamais l’un d’entre eux ne se pose de questions sur ses activités pendant le temps où elle n’est pas avec lui. Elle sait, comme d’ailleurs tous ceux qui ont eu un jour ce que l’on nomme pudiquement « une relation extraconjugale », combien il est difficile de trouver des excuses ...