1. Je serai la femme d'un homme riche...


    Datte: 13/08/2017, Catégories: f, fh, hplusag, Collègues / Travail fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, Masturbation pénétratio, policier, aventure,

    ... Forêt, relais gastronomique situé à quelques centaines de mètres, confirme bien le jour et l’heure de la livraison. L’ennui, c’est que Sophie n’a pas du tout déclaré avoir été victime de ce vol à cet endroit-là. C’est même plutôt tout le contraire : elle prétend que soncar-jacking a eu lieu dans un endroit situé à presque trente kilomètres de là. — Et comment pouvez-vous être si certain que c’est bien elle que vous avez fait monter ?— Vous rigolez ? Vous imaginez qu’on peut oublier une aussi jolie fille, moulée dans une robe rouge, balancée comme une déesse, les jambes nues au mois d’octobre et crevant de froid ? Vous imaginez qu’on peut oublier une fille qui ne prend pas la précaution de tirer sur sa robe alors que vous l’aidez à monter en camion, ce qui fait que je peux vous dire qu’elle portait ce soir-là un minuscule string blanc en maille comme les bas résille, et qui ne cachait pratiquement rien de sa chatte ? Là, le sang du commissaire ne fait qu’un tour. Indiscutablement, ce ne peut être qu’elle : il ne risque pas non plus d’oublier ce détail qu’elle lui a fait admirer à son insu quand elle était dans la salle d’interrogatoire. Deux questions l’assaillent : que pouvait bien faire Sophie à cet endroit et à cette heure, et pourquoi a-t-elle déclaré que c’est arrivé si loin de là où tout porte à croire que cela s’est passé réellement ? — Je peux même vous ajouter qu’elle m’a demandé de bien vouloir la déposer tout près d’un commissariat… —ooo0ooo— Pendant ce temps, ...
    ... il en est un autre qui lui aussi est devant son poste de télévision, et cet homme, bouleversé, c’est Joseph Sade. Alors qu’il regarde, effaré, la voiture que l’on a sortie de l’eau, qu’il voit Sophie faire sa crise de douleur, il lui semble bien qu’elle joue faux. Pour qu’elle soit parfaite dans son rôle de strip-teaseuse, il lui a payé quelques cours de comédie avec un professeur réputé, et comme il a assisté à pas mal de ses cours, il reconnaît tous les trucs qu’on lui a appris pendant ses répétitions. Cela crève les yeux qu’elle n’est pas sincère dans le rôle de la mère meurtrie dont on a noyé les enfants ! Et il est bien placé pour savoir qu’elle est à peu près prête à tout… Plus que tout, il lui revient en mémoire la conversation qu’il a eue avec elle, précisément le soir même où ses enfants ont disparu. Elle ne lui en a pas parlé alors ; peut-être était-ce parce il s’envolait quelques heures plus tard pour aller signer un contrat au Brésil. Mais, en substance, il se souvient très bien de ce qu’elle lui avait dit : — Alors, vous ne voulez toujours pas m’épouser ? Vous n’avez pas envie que je sois à vous et à vous seul ? Et puis, vous savez, je n’ai plus mes enfants, maintenant… Il avait pris cette dernière remarque pour une boutade, pensant qu’elle avait trouvé un moyen quelconque d’envoyer sa descendance chez ses parents ou en pension, ou encore dans une colonie de vacances. Mais il semble bien qu’elle ait trouvé une façon nettement plus radicale de s’en débarrasser… ...