1. Monsieur et son assistante


    Datte: 23/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Il y a quelques années, j’ai été embauchée comme assistante personnelle d’un homme d’affaire. Marchand d’art international, il avait besoin d’une personne à Paris gérant ses affaires en son absence, et en sa présence, d’une personne totalement dévouée. Je n’avais aucun doute sur la nature de cette « dévotion », je l’avais rencontré dans un club BDSM. Paul avait une petite cinquantaine, moi, à peine 30 ans. Il était plutôt séduisant, et en bonne forme physique, bronzé toute l’année, sourire ultrabrite ! Son appartement dans un quartier chic était simplement immense, 300 m2 sur 3 étages, le premier réservé à ses affaires, les pièces d’habitation au deuxième étage et au dessus, sous le toit, un deux pièces adorable, plutôt grand et très lumineux. Le deal était que je m’installe au 3ème étage, que je sois très bien rémunérée, que je sois à son service. CDD, avec période d’essai, sans préavis. Moi qui vivais dans une minuscule chambre de bonne, j’étais ravie. Les règles du jeu posées, notre « collaboration » commença. Le matin, je descendais lui préparer son petit-déjeuner, en robe ou jupe, sans culotte. Quand la table était prête, je devais aller le réveiller… par une petite gâterie. Tous les matins le même rituel. Tous les matins, il commençait sa journée en giclant dans ma bouche gourmande… puis le petit-déj. Lui assis, lisant le Figaro, moi selon son désir : débout à coté de lui, assise jupe relevée et jambes écartées, ou, son choix le plus régulier, debout à coté de lui, ...
    ... le haut du corps couché sur la table, le cul offert. Personnellement, c’était ce que je préférais parce qu’il se passait souvent peu de temps avant qu’il ne me doigte d’une main pendant qu’il buvait son café ou mangeait ses croissants de l’autre. Cet homme était un génie en beaucoup de choses, mais sa manière de me doigter… Mon Dieu ! Je montais au plafond en moins de deux ! A chaque fois ! La plupart du temps, il finissait son petit-déj en me prenant rapidement sur la table, à plat ventre ou sur le dos, peu lui importait, mais toujours dans ma chatte. Ensuite on passait à notre journée de boulot. Très professionnellement, le seul petit détail « exotique » étant mon manque de culotte. Jamais un mot cru, jamais un geste déplacé. Il avait souvent des déjeuners avec des clients, et quand nécessaire, il me demandait de l’accompagner. Mais c’était clair, j’avais indiqué lors de la négociation du contrat que je ne couchais qu’avec les hommes que je choisissais. Donc tenues très sexys lors des déjeuners, chemisier très transparent, pas de soutif, mini jupe, talons… Lorsque cela s’avérait nécessaire, si le client voulait plus que regarder, Paul m’interrogeait du regard. Si l’homme me plaisait, je lui proposais de me prendre, sinon, j’allais voir le concierge de l’hôtel où nous déjeunions (nous déjeunions toujours dans de grands hôtels) et lui commandais une chambre avec supplément ; le client s’offrait un bon moment avec une call girl et le contrat se signait. Il m’est donc arrivé ...
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