1. Monsieur et son assistante


    Datte: 23/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... quelques fois de m’offrir à des hommes dans les salons privés de ces hôtels si chics. Rien d’extraordinaire. Mais ce qui me plaisait était d’imposer mes règles à ces hommes de pouvoir et d’argent. « Je veux baiser en levrette » « je vous suce puis vous m’enculez. »… Mon boss restait et surveillait, impassible, restant à l’extérieur du jeu. Il avait toujours ce petit sourire. Cela m’excitait beaucoup, son regard sur moi. Le soir, après la journée de travail, il appréciait un bon bain, souvent je le massais ensuite, puis, soit il me prenait en levrette, toujours mon cul, soit je le chevauchais jusqu’à ce qu’il jouisse dans mon cul serré. Il avait des goûts simples. Je m’ennuyais un peu. Mais… Pendant ses absences, je m’ennuyais beaucoup. A part le boulot, je n’avais personne qui remplissait le vide, qui me comblait… alors, j’allais dans des clubs et choisissais un étalon à mon goût, avec une belle queue… Tous les soirs, j’offrais mon corps à un mâle, voir deux ou trois. Le sexe était excitant, me faire attacher, fouetter, goder, limer dans tous les sens, défoncer me plaisait. Je me sentais vivante. Ce que je préférais : c’était quand il revenait de voyage. Je devais confesser mes écarts. Lui raconter dans les moindres détails comme j’avais été une grosse salope, une traînée. Les jours qui suivaient étaient géniaux… Il me punissait jusqu’à ce que sa colère soit passée. Selon pratiquement le même rituel. Le premier soir, il m’attachait les mains dans le dos, nue, il commençait ...
    ... par me coucher sur ses genoux et me fesser, les claques tombant les unes après les autres de plus en plus fortes, jusqu’à ce que je ne sente plus mon cul… Je devais lui dire comme je regrettais, comment j’étais une vilaine fille… Une fois sa main fatiguée, il me relevait, me laissait à genoux par terre, et plaçait des pinces sur mes tétons déjà durcis par l’excitation de la fessée… puis il m’attrapait par les cheveux et me baisait la bouche sauvagement et me traitant de pute, de chienne… Une fois qu’il avait jouit, il me détachait les mains et me laissait là, seule à genoux au milieu du salon… je n’avais plus qu’à enlever les pinces, remonter dans mon appart, prendre une douche et dormir. Le lendemain matin, au lieu du doigté matinal, j’avais le droit à un plug dans le cul et à un tout petit gode dans la chatte, à plat ventre sur la table de salle à manger. Sans rien de plus. Pas le droit de me masturber, ni de bouger. Un vrai supplice. A la fin du petit déj, il retirait le plug et le gode et la journée de travail commençait. Totalement frustrée. Il me fallait attendre le soir pour être satisfaite. Il me faisait venir dans sa chambre. M’attachait écartelée sur son lit, à plat dos. Et il me baisait. D’abord le cul avec un gros gode qu’il enfonçait en moi sans douceur aucune, il me ramonait le cul jusqu’à ce que je jouisse et me laissait tremblante avec le gode enfoncé au maximum, telle la petite enculée que j’étais. Puis il me limait la chatte avec un vibro, second orgasme. ...