1. Her...


    Datte: 23/01/2019, Catégories: ff, hotel, boitenuit,

    ... le plus possible pour ramener mes talons contre mes fesses, les jambes bien écartées. Elle resta un instant distante devant le tableau que je lui offrais et s’allongea à même le drap. Ses mains empoignèrent mes cuisses pour prendre appui, et elle se mit à effleurer la peau intérieure de mes cuisses du bout des lèvres, les yeux fermés… La chair de poule ne se fit pas attendre, et mes dents mordirent aussitôt l’oreiller que je tenais. À sentir son souffle chaud et glacial à la fois contre cette peau fine, je chavirai… « Fuck… » murmurai-je pour moi, paupières serrées… « Fuck me… » Après m’avoir bien rendue folle en m’impatientant, ses lèvres se posèrent à la naissance de ma fente, à quelques millimètres de mon petit bouton. Elle aspira ce bout de peau, manquant de me faire déjà toucher le fond… Puis je sentis ses index ouvrir les portes au trésor, et sa langue chaude m’envahir, renversant alors tout ce que j’avais pu connaître jusque là… Ma respiration monta à son zénith, et quand je ne pus plus respirer, mon corps se relâcha en arrière, et je miaulai… Je me tordais de plaisir, mais ses mains emprisonnant mes cuisses m’empêchaient de bouger comme je le voulais… Je lui attrapai la nuque et la fis remonter à ma bouche pour l’embrasser et ses doigts s’occupèrent du reste… Quand je sentis son majeur et son annulaire m’emplir, je serrai les dents en la regardant et rentrai le ventre par réflexe… Me sentant de plus en plus faible, je m’agrippai à ses épaules, passive, et sentant ma ...
    ... fin proche, ses doigts accélérèrent la cadence, pour m’offrir un orgasme digne de ce nom… Je retombai en arrière, et mon corps me parut si lourd, qu’il semblait s’enfoncer dans le matelas, et le plafond s’éloigner peu à peu de moi… Kate s’allongea à mes côtés, la tête sur mon épaule, mais je ne pouvais pas la laisser comme ça. J’avais trop envie de la goûter aussi, et surtout de lui faire du bien… Je me mis à cheval sur elle, et la regardai. Elle semblait vidée, elle aussi. Je posai ma main sur sa joue, et lui déposai un baiser au coin des lèvres. Elle en fit de même, et je collai passionnément ma bouche à la sienne avant de descendre le long de son corps que j’embrassai. Je fis escale sur ses seins. J’en massai un doucement alors que l’autre reçut la visite de ma langue. Elle commença à gémir en me caressant les cheveux, et le bout de ma langue se mit à tapoter vigoureusement le téton qui se contracta radicalement avant même que mes dents ne viennent le mordiller amoureusement. L’autre, jaloux, eut droit au même traitement, au moment où je laissai sombrer mon pouce dans son nombril, en le tirant sur le côté… Ses murmures incompréhensibles me firent comprendre de continuer, et j’enfonçai doucement ce pouce, aidé parfois de l’index pour exercer de petits étirements de la peau qui entourait l’orifice… Les yeux toujours fermés, entre fatigue et envie, je m’occupais d’elle entre coma et éveil… Mes lèvres se déposèrent de part et d’autre de son ventre, en descendant toujours plus ...