Her...
Datte: 23/01/2019,
Catégories:
ff,
hotel,
boitenuit,
... dans ses mains pour m’embrasser, encore. Puis un klaxon nous réactiva et on sauta dans la voiture. Les cinq premières minutes, nos lèvres ne se lâchèrent pas, et nos mains hésitaient entre nos visages et nos jambes. J’ouvris un œil et aperçus sans surprise le chauffeur qui n’en loupait pas une miette dans son rétro. La situation m’encouragea à frôler de ma main de son cou à son sein, en le caressant avant de le presser dans ma paume. Voyant qu’il ne disait rien, je profitai de sa main à elle sur mes fesses pour m’asseoir sur elle, et lui coincer la tête en arrière pour lui lécher calmement le cou du bout de la langue, avant de lui faire un joli suçon, alors que ses mains s’étaient occupées de passer sous ma jupe et sous ma culotte pour avoir une meilleure emprise sur mes fesses qu’elle malaxait avec apparemment grand plaisir. Mes mains écartèrent sa veste en jeans et passèrent sous le débardeur pour s’emparer de ses petits seins libres sous le tissu. Nos langues se rencontrèrent à nouveau, et mes pouces passèrent lentement mais intensément sur ses tétons pour les sentir durcir contre les miens. Mes index vinrent les aider en les pinçant par petites pressions. J’entendis sa respiration se compliquer, ce qui m’incita à intensifier mes gestes et mes baisers, et ses mains remontèrent dans mon dos pour me serrer fort contre elle, très tendrement. On ne remarqua même pas que la voiture était garée depuis cinq minutes et que le mec n’avait pas osé (ou eu envie) de nous interrompre. ...
... On se détacha en douceur, dans un dernier baiser. Le chauffeur voulut nous offrir la course, tu penses, mais Kate insista pour le payer, et le fit. On fuit le taxi et on retrouva hâtivement l’ascenseur de l’hôtel. Les portes refermées, on se jeta l’une sur l’autre comme deux sauvages, et elle me plaqua contre la paroi. Nos mains jointes s’étirèrent pour former une seule et même croix de nos corps d’exquises pécheresses. On quitta l’ascenseur sans même rouvrir les yeux ni détacher nos lèvres. On se cogna contre les murs et les portes dans le trajet jusqu’à celle de sa chambre. Je m’appuyai à celle-ci en attendant qu’elle l’ouvre, et on entra, main dans la main. Je refermai la porte derrière moi et attirai Kate contre ma peau, reprenant nos baisers. Ses mains caressèrent ma tête, mes cheveux, mes épaules, mes bras, mes fesses, puis de sa petite force, elle me souleva, ses mains derrière mes cuisses, et entoura son bassin de mes jambes que je croisai dans son dos, avant qu’elle ne plonge la tête entre mes seins. Mon bustier les compressait, et l’excitation les ayant durcis me valut ces sublimes douleurs… Elle me reposa à terre et me retourna violemment pour me défaire ce bustier. Le soulagement fut immédiat, et je m’en accommodai pour faire coulisser ma culotte sous ma jupe, et la lancer au loin avec le bout de ma botte. J’étais toujours dos à elle quand l’une de ses mains s’empara de ma poitrine tandis que l’autre s’immisçait par-devant entre mes jambes, et pressa le tissu de ...