Her...
Datte: 23/01/2019,
Catégories:
ff,
hotel,
boitenuit,
... intéressant… Les filles s’installèrent dans le studio autour de la table, devant un micro chacune, et on leur donna des casques. Je les regardais de l’autre côté d’une vitre, bras croisés, appuyée au mur… Entre deux rires, Kate me jeta un regard. Cette fois-ci, pas question de le mépriser. Je le soutins, sans un sourire. Le sien disparut petit à petit, sans qu’elle ne lâche mes yeux. Puis je me mis à regarder sa bouche. Et je réalisai là, que j’avais très envie de l’embrasser. Je commençai à me voir, virer tout le monde du studio, nous y enfermer, et la pousser à me violer sur la table ronde… Sentant une certaine chaleur monter en moi, je me réveillai vite de ces songes, et chassai ces images de ma tête… Cette émission dura un peu plus longtemps que la précédente, et je commençais à bailler. Les animateurs remercièrent les filles, et elles profitèrent d’une coupure musicale pour quitter le studio. Elles passèrent devant moi sans rien me dire et je retins le bras de Gina. — Qu’est-ce que vous faites maintenant ?— On va sans doute se reposer un peu à l’hôtel et ensuite on ira en boite. Tu veux venir avec nous ?— Oui. Je ne demandai même pas si j’allais déranger, ni rien. Plus de timidité. On revint au parking, et je les suivis jusqu’à leur hôtel. Il y avait une quinzaine de fans devant, et je me dis que si elles ne m’attendaient pas, la sécurité de l’hôtel ne me laisserait pas entrer. Je me garai n’importe comment et rattrapai la dernière qui entrait en posant ma main dans son ...
... dos. Elle se retourna, c’était Kate. Je n’avais même pas fait attention que c’était elle. Je retirai ma main, et elle me la prit du bout des doigts pour montrer que j’étais avec elles. Une fois dans le hall, chacune se dispersa pour rejoindre sa chambre et je me trouvai conne, sans savoir qui suivre, où aller. — Tu veux monter avec moi ? me demanda Kate.— Bien… Ai-je vraiment le choix…— Oui, tu l’as. Elle prit sa clé à la réception, et on prit l’ascenseur. Parfaitement silencieuses, moi bras croisés de mon côté, elle, la main appuyée sur la barre horizontale fixée à la paroi de la cabine. Neuvième étage, les portes s’ouvrirent. La prod’ avait tout bien fait. On était loin du Formule 1. Je l’accompagnai jusqu’à la porte de sa chambre qu’elle ouvrit, et elle me fit galamment entrer en première. Vraisemblablement, elle avait déjà pris ses marques, vu le bazar. Valise grande ouverte sur le lit, affaires dispersées. Elle posa sa veste sur une chaise et fonça à la salle de bain. Je retirai la mienne et la posai soigneusement sur le lit, et m’assis à côté, genoux serrés, en regardant un peu autour de moi. — Sers-toi quelque chose au mini-bar si tu veux, c’est la prod’ qui paie.— Oui, je me doute bien que tu ne m’aurais pas offert un verre si ça venait de ta poche… Je l’entendis sourire en se séchant les mains, mais elle ne répliqua pas. — Ça te plait, Paris ? lui demandai-je en croisant les jambes, posant mes mains entrelacées sur mon genou.— Mouais… J’aime pas vraiment voyager, tu ...