1. La bourgeoise et le marabout (11)


    Datte: 24/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    Alors que je suis dans le métro, rentrant de mon travail à la maison, je reçois un appel de François. Il me demande de passer chez le photographe près de chez nous rue de Passy pour y récupérer des photos qu’il a mises à imprimer pour son travail, des photos du musée de Bordeaux faites lors de son dernier audit là-bas. Il me précise de n’y passer que quelques instants avant la fermeture du studio, vers 18h50, car on lui a précisé que le travail ne serait fait qu’en fin de journée compte tenu de leur planning chargé. J’ai donc le temps de rentrer à la maison, préparer le dîner avant d’y aller. Il est à peine 18h50 lorsque je me présente au studio et il n’y a aucun client. Je m’adresse à l’homme debout derrière le comptoir. — Bonsoir, mon mari m’a demandé de passer récupérer des tirages photo pour lui. C’est au nom de François de Saint Jouy. Il regarde dans ses tiroirs et me répond : — Elles ne sont pas là. Je vais voir si mon collègue est en train de les faire, avant de se rendre dans une sorte de studio situé derrière un petit rideau. Il revient quelques instants plus tard : — Mon collègue termine le travail en cours et va s’occuper de celles de votre mari. Pourriez-vous venir pour vérifier qu’il s’agit bien de cela. Je le suis derrière le rideau et me voilà à côté de son jeune collègue installé devant un très grand écran d’ordinateur branché sur trois ou quatre imprimantes. Il me dit : — Voici la clé USB laissée par votre mari, nous allons voir s’il y a plusieurs fichiers. ...
    ... Il introduit la clé sur l’ordinateur, effectue quelques clics et sélectionne un fichier intitulé « A imprimer ». Une fois qu’il a cliqué sur le fichier, je suis rouge de honte lorsqu’une dizaine de photos s’affichent en grand à l’écran ; ce sont des photos prises lors de notre dernière sortie au bois de Boulogne. Heureusement que je portais un loup sur le visage car on me voit sur l’écran faisant des fellations à plusieurs hommes tandis qu’un autre me tient par les hanches et me baise. — Ce sont bien les photos de votre mari ? me demande-t-il — Oui, mais je pensais qu’il s’agissait de photos pour son travail ! Les deux hommes me regardent en souriant et le plus vieux ajoute : — Ce sont de superbes photos ! Si c’est vous derrière le masque, vous êtes très photogénique. J’en veux à François de m’avoir tendu ce piège dans lequel j’ai foncé tête baissée, même si je reconnais que le coup était bien monté. Mais je crois que je vais lui jouer un tour pour le prendre à son propre jeu. M’adressant aux deux hommes, je leur dis : — Pourriez-vous m’aider à faire à mon tour une petite surprise à mon mari ? Le plus âgé, qui semble être le patron, me répond : — Bien entendu Madame, ce sera un plaisir. Puis s’adressant à son jeune collègue : — Jean, va fermer le magasin, il est déjà 19h00 et nous pourrons ainsi répondre aux attentes de Madame de Saint Jouy en toute tranquillité. Une fois Jean revenu, le patron qui s’est présenté comme étant Henry me demande ce que je souhaite. Je réfléchis ...
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