1. La bourgeoise et le marabout (11)


    Datte: 24/01/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... deux secondes puis lui réponds : — Vous savez, j’aimerais que vous fassiez deux ou trois photos de moi en noir et blanc, un peu osées, pour que cela ait un petit air rétro. Henry réfléchit à son tour puis me dit : — Je vous propose que l’on fasse quelques clichés du style des premières photos érotiques du début du siècle, photos qui circulaient sous le manteau car les mœurs étaient beaucoup moins libres qu’aujourd’hui. Si cela vous convient, suivez-nous dans la pièce voisine où nous avons plutôt l’habitude de faire des photos de communion et de mariage. Nous voilà maintenant dans une petite pièce aux murs recouverts de tentures grenat et équipée de nombreux projecteurs. Henry rapproche un fauteuil et l’installe au milieu de la pièce. Pendant ce temps, Jean place à côté quelques objets anciens pour parfaire le décor. Cela fait très boudoir cosy dans un immeuble haussmannien du début des années folles. Jean s’est installé derrière son appareil photo et Henry ajuste quelques projecteurs tout en me disant : — Installez-vous dans le fauteuil, détendez-vous bien et commencez par prendre quelques poses sans que nous prenions de photos. Cela va vous mettre en confiance. Une fois assise, je commence à défaire les boutons du haut de ma robe et l’entrouvre pour que l’on voie mon soutien-gorge. Une fois que cela est fait, tandis que je me suce l’index de la main gauche, ma main droite descend sur mes genoux et remonte doucement entre mes jambes. Par réflexe ou par timidité, je ferme ...
    ... les yeux et continue mon petit jeu comme si j’étais une entraîneuse dans un bar de Pigalle. Henry m’encourage. — C’est parfait Madame, continuez ainsi. Jean va commencer à prendre quelques clichés de vous. Le corps bien alangui dans mon fauteuil, je continue mon petit numéro. Tous les boutons de ma robe sont défaits et les deux photographes peuvent à loisir admirer mon soutien-gorge qui ne cache rien de la pointe de mes seins, mon string dont le tissu est bien collé à la fente de mon sexe et mes bas noirs fixés à un large porte-jarretelles. Les déclenchements successifs de l’appareil photo de Jean m’excitent au plus haut point et je décide de retirer entièrement ma robe qui tombe à mes pieds. Posant mes mains en appui sur le dossier du fauteuil, je tourne le dos au photographe et j’ondule de la croupe devant l’objectif. Nouveaux déclics de l’appareil ! Puis je m’assois de nouveau, les jambes grandes écartées dans une pose très impudique et très provocante. Je fais signe à Henry qui s’approche de moi, ouvre sa braguette et sort son sexe déjà bien bandé. Nouveaux déclics pendant que je débute ma fellation. Puis c’est Jean, certainement trop excité derrière son appareil, qui se rapproche et me présente sa queue. Je m’applique à sucer ces deux belles queues. Nouveaux déclics, Jean avoue avoir mis en déclenchement automatique pour en profiter lui aussi. Les sentant proches de la jouissance, je me retourne et m’appuie bien sur le dossier du fauteuil. Ma croupe est tendue vers eux et ...