1. Epizode 2


    Datte: 21/06/2017, Catégories: fff, fffh, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe fdanus, hdanus, hgode, init, humour, sf, fantastiqu, fantastiq,

    ... pénible, mais on fait forcer inutilement le moteur, répond Denis en bon technicien. Avant d’ajouter : Mais on n’est pas loin du centre commercial, là, non ?— Ah oui ! La prochaine à gauche, s’exclame Marie. Denis vire à gauche et vient se garer, juste à côté de sa propre voiture, toujours là où il l’avait laissée : en vrac en plein milieu ! Il coupe le contact du pick-up, sans mot dire et sort. La passagère le suit ; il ouvre la portière de sa grosse berline, elle reprend sa place de passagère. Sans surprise, la clé est toujours sur le contact, il presse l’embrayage, puis le bouton start et elle démarre, tout en silence. En passant la marche arrière, Denis pose son bras machinalement derrière l’appui-tête passager, en se retournant il sourit à sa femme. Alors que cette marche arrière s’est faite tout en douceur, le démarrage est bien plus sportif, tout comme le reste de la conduite. Ainsi, la fin d’après-midi approchant, ils arrivent devant une belle et modeste villa, menuiserie bleue, crépi ocre, sur deux étages. Ils se garent. *** Denis n’a pas le temps de venir ouvrir la porte de sa passagère qu’elle est déjà dehors, il lui indique le chemin, ouvre le portail et débute la visite par le jardin, la piscine… Il prend au passage, dans une cachette, le double de la clé d’entrée (la sienne était restée dans son pantalon !) passe rapidement sur la visite du hall, la cuisine, salle de bain du bas, puis le salon, avant de l’inviter à monter au premier. Là, c’est leur chambre, oui, ...
    ... sur tout l’étage, avec toilette, bain, dressing et… lit ! C’est là que s’attarde Marie, se jetant dessus en lançant : — Non, vraiment, ça ne me rappelle rien, tout ça. Mais ce lit me donne des idées !… Denis s’agenouille à ses pieds et en toute férocité dévore le sexe de sa femme, lui extrayant des gémissements, de prime-abord surpris, puis de plus en plus langoureux. Sa langue est en compétition avec ses doigts qui s’affairent tous azimuts, autour et dans son intimité. — Prends-moi ! supplie Marie. Et, presque instantanément, il exécute son souhait qu’il partage. Son sexe, d’une parfaite rigidité, s’introduit virilement et sans difficulté dans sa grotte d’amour. Les assauts semblent durer une éternité, le plaisir, la jouissance des deux semblent sans limite. Denis glisse alors sa main sous l’oreiller où est rangé leur sextoy préféré : « Big black », et il porte bien son nom ! Il l’approche du visage de sa femme, qui le découvre puis le recouvre d’une main et l’engage dans sa bouche puis glisse sa langue sur toute sa longueur, sur toute sa surface. En un mouvement rapide et précis, Denis se retire pour laisser place à ce jouet, qu’il dépose dans un premier temps à l’orée des lèvres intimes de sa femme, le cale sur son ventre, tout en guidant son propre sexe face au petit trou. Il s’avance, en maintenant « Big black » entre le pouce et l’index. Lentement mais sûrement, Marie est bientôt entièrement occupée, Denis, de plus en plus comprimé… Il est en butée, le jouet pas encore ...