1. Epizode 2


    Datte: 21/06/2017, Catégories: fff, fffh, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Partouze / Groupe fdanus, hdanus, hgode, init, humour, sf, fantastiqu, fantastiq,

    ... masturbe plus que d’une main et sa bouche suit le mouvement, la seconde main s’est glissée sous ses testicules, qu’elle empoigne fermement, tout en augmentant la vitesse des allées et venues. Quand soudain Denis, les doigts emmêlés dans les cheveux de Blue, l’immobilise. Il jouit en elle sans aucune retenue. Celle-ci remonte face à lui et l’embrasse goulûment. Elle avait tout avalé et ce baiser n’en était que la démonstration. Elle se rassoit à ses côtés, sert un verre de vin blanc, bien frais, à Denis puis à elle-même, trinque un coup avant de le siffler cul-sec. Les deux dernières assiettes sont sommairement finies, quand le plat suivant arrive. De simples pâtes au beurre. — Nous… nous avons été un peu occupées, désolée pour la simplicité, marmonne la jolie blonde du centre commercial.— C’est moins pire que les sandwichs au… naturel. Oui, les bouts de pain sans rien qu’on a eus la semaine dernière, ajoute Chantal.— Oui, mais on les avait fait un peu chauffer avant, se défend Marie.— Moi j’aime les pâtes ! s’exclame Denis, qui après avoir ajouté du fromage a déjà planté sa fourchette, l’entortille et s’empresse de la porter à la bouche. Finalement, toutes l’imitent et les assiettes sont bien vite finies. Sans même passer par la case fromage, une corbeille de fruits est posée sur la table et passe de mains en mains, se vidant au fur et à mesure. Denis semble déçu, c’était presque un repas normal ! *** Alors que le cours de la vie de cette petite communauté semble avoir ...
    ... repris son cours, Marie demande à Denis, tous deux toujours à table : — Ton histoire, que nous serions mariés, me perturbe particulièrement. Certes tu nous as dit que c’était une blague, mais ça n’explique pas que tu me connaisses aussi bien. Donne-moi une preuve, quelque chose de concret. Denis, après un long silence lui propose : — OK, allons voir notre maison, là où nous vivons. Ça te rendra peut-être la mémoire.— C’est loin ? demande Marie.— C’est pas à côté, il faudra prendre la voiture, répond Denis.— Bien, on n’a qu’à prendre le 4X4 ! s’exclame, toute excitée, Marie. Sur ce, après avoir décroché les clés d’un anneau, à côté de la porte d’entrée, ils se dirigent vers la grosse voiture, entre 4X4 et pick-up, mais très luxueux à l’intérieur. — C’est toi qui conduis ! implore Marie. J’ai toujours pas compris comment on passait les vitesses là-dessus, moi, ajoute-t-elle.— OK ! Ainsi, non sans « excitation », il prend place sur le siège conducteur alors qu’elle vient s’installer à ses côtés. Il insère la clé dans le démarreur et fait ronronner le moteur, suit le petit chemin à l’intérieur de la propriété avant d’arriver devant le portail. Marie prend alors la télécommande pour l’ouvrir. Après seulement quelques mètres, Denis semble très soucieux. — Y a un problème ? lui demande Marie.— Bé oui, c’est impossible de passer la troisième ! Avec un tel véhicule, plafonner à 40 km/h est un peu frustrant !— Bah, on n’est pas pressés ! lui répond naïvement Marie.— Non, non seulement c’est ...
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