Colocation - La suite
Datte: 25/01/2019,
Catégories:
fh,
ffh,
jeunes,
alliance,
copains,
boitenuit,
amour,
noculotte,
facial,
Oral
69,
pénétratio,
amourdura,
consoler,
couple+f,
Inceste / Tabou
... dans le lit.— Mais tu ne vas quand même pas rester comme ça, en minijupe et sans culotte, toute la journée, à côté de moi ? Je ne tiendrais jamais.— Il faudra bien, tu n’as pas le choix. Tout le restant de la journée, elle s’affaira à ranger les affaires, à nettoyer l’appart jusque dans ses moindres recoins, tout en s’assurant de bien s’exhiber. Je pouvais voir les pointes de ses seins qui pointaient et qui tendaient le tissu de son pull. Elle faisait exprès de se baisser en gardant ses jambes bien tendues pour que j’aie une vue imprenable sur son cul. Après chaque exhibition, elle me regardait bien dans les yeux pour voir l’effet qu’elle me faisait. Je devenais fou d’excitation. Chaque fois que je m’approchais d’elle et la frôlais, elle s’esquivait. Elle rayonnait de plaisir à m’allumer. Elle me rendait fou d’excitation. Mon sexe en devenait douloureux à force de bander. Inutile de dire qu’à peine le souper terminé, je lui sautais dessus et passais une nuit torride. J’étais malgré tout un peu contrarié que sa copine vienne passer la soirée de la Saint Sylvestre avec nous. C’est en traînant les pieds que je l’accompagnai le lendemain dans les magasins, pour faire les courses et organiser la soirée. À notre retour, toujours boudeur, je dus l’aider à tout ranger. Les quelques tentatives que je fis pour nous réconcilier « horizontalement », s’avérèrent vaines. Elle ne pensait qu’à son réveillon. Lorsque Virginie arriva, je l’accueillis froidement, mais elle ne s’en rendit ...
... même pas compte. Elle me dit à peine bonjour et se précipita dans les bras de ma cousine. Commença alors le pire repas de jour de l’An de ma vie. Durant tout le repas, Virginie raconta sa rupture avec Mathieu, entre deux crises de larmes. Il l’avait larguée pour une autre et il lui avait annoncé qu’il la quittait le jour de Noël. Les deux filles menaient leur conversation sans se préoccuper de moi. Les rares fois où j’essayais de me mêler à leur discussion, elles m’ignoraient. J’avais beau essayer de les faire boire, rien n’y faisait, elles m’ignoraient purement et simplement. Lorsque Julie proposa de passer minuit en boîte de nuit, pour changer les idées de son amie, je fus emballé. Les deux filles semblaient légèrement éméchées et voulaient maintenant s’amuser. Comme en arrivant, Virginie, n’étant pas d’humeur à faire la fête, était venue habillée en jeans et pull à col roulé : — Tu ne peux pas aller en boîte comme ça, dit ma cousine, suis-moi, je vais te prêter des fringues.— Pour quoi faire ? Je n’ai personne à qui plaire, répondit Virginie.— Peut-être que tu vas rencontrer l’homme de ta vie ce soir, ajoutai-je, avec un peu d’ironie.— Au lieu de retourner le couteau dans la plaie, tu ferais mieux de mettre un peu d’ordre dans l’appart, que ce ne soit pas trop le bordel quand on rentre, me répondit Julie, avec un regard noir. Décidément, ma soirée ne semblait pas s’arranger. Cependant je débarrassai la table et rangeai le désordre. Une demi-heure plus tard, les deux filles ...