1. Des hommes et des chiens pour ma petite chatte. (1)


    Datte: 25/01/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... par cœur, en criant, coucou ! Et je suis restée interdite. Trois mecs magnifiques étaient à poil en train de se laver. Comme ils bandaient tous les trois, j’ai pensé qu’ils étaient en train de faire un concours de branlette. Celui du milieu a fait : — Hé, mais c’est ma petite salope d’hier ! C’était bien le type que j’avais vu la veille. J’ai aussitôt compris qu’il allait m’arriver quelque chose si je restais là. Je l’ai même fortement espérer. Et je les ai provoqué un peu. Et puis je me suis dit que trois mecs, que je ne connaissais pas, ce n’était pas raisonnable. Pour qui allaient-ils me prendre. Une fois de plus j’étais indécise, une fois de plus je ne savais pas ce que je voulais; alors j’ai tourné les talons mais avant que j’atteigne la porte, un des mecs a sifflé; Et aussitôt trois énormes chiens, dont celui de la veille, m’ont barré le passage. Les mecs sont arrivés... — Aller, s’te plait, fais pas ta mijaurée. Si tu nous laisses, il va t’arriver que du bonheur, on t’fera pas des trucs que t’a même pas idée. Un deuxième a enchaîné : — Oui, et puis tu tombes bien, y’a longtemps qu’on n’a pas vu de meuf. On allait faire ça entre nous et je venais d’être tiré au sort pour me faire niquer. Oui, tu tombes bien ! J’ai craqué évidemment. Qu’il soit bien clair qu’ils ne m’ont en rien contrainte, ni forcée ni menacée. Ils ont juste utilisé les dons que la nature leur a si merveilleusement fourni pour me persuader du regard, du geste et au toucher. Trois belles gaules bien ...
    ... luisantes dressée vers moi, me frôlant, douces et dures, cela a suffi à me décider et je n’ai pas hésité longtemps à sauter le pas... et pas que le pas. Je ne savais plus quelle bite choisir en priorité. J’ai fait mine de résister quand même, par orgueil ... un dernier baroud d’honneur, pour faire croire que je ne suis pas une fille facile... mais ils n’y ont pas cru évidemment. Je devais déjà avoir l’expression du plus vif désir. Gentiment, avec plus de douceur que je ne m’y serais attendue, ils m’ont entrainée vers le local à matériel. Des tapis de sols, des bouteilles, leurs vêtements trainaient par terre. J’ai compris qu’ils avaient dormi là. Ils m’ont foutue à poil tout en me pétrissant les seins et en essayant d’insérer les doigts dans ma chatte. Je peux vous dire que j’étais déjà un peu excitée... Puis ils m’ont invitée à m’agenouiller, et mon "admirateur" de la veille, qui s’appelait Phil, a essayé de me faire bouffer sa bite. Un autre, appelé Jean-Louis mais que les autres appellent Jean-Lou me tenait le bras, de peur sans doute que je parte avant qu’il ait eu son tour. Pour le principe, je résistai, histoire de leur montrer que mes désirs pouvaient être pris en compte à égalité avec leurs pulsions de bêtes en rut. Phil insistait. Et plus il insistait moins je coopérai pour le mettre à ma merci, pour faire durer le plaisir, pour développer l’excitation à son paroxysme. Il a donc dit au troisième : — Marco, pince-lui le nez. Elle va bien être obligée d’ouvrir son garage à ...
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