1. Des hommes et des chiens pour ma petite chatte. (1)


    Datte: 25/01/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... bites! Et comme l’autre l’a fait, j’ai ouvert ma bouche. Il m’a enserré la tête et m’a défoncée presque à me faire vomir. Les deux autres types, aussi bien membrés me tripotaient de partout, leurs doigts s’insérant dans le con et dans le cul. Phil s’est allongé pour que je vienne me planter dessus. J’y allais sans hésitation. J’étais bien dans le jeu maintenant, les dernières inhibition avaient disparu au contact de ces sexes durs qui me pressaient de partout. Du reste, il faut dire que ce type était un coup merveilleux. — J’t’avais dit qu’tu y prendrais goût pouffiasse ! Elle est bonne ma teub, hein tu l’aimes ma trique ! Alors, je suis pas un bon coup ? Je ne pouvais pas répondre, j’avais la queue de Marco dans la bouche. C’était la première fois que je baisais à plusieurs. Jean-Louis me dilatait la rondelle avec les doigts. J’ai senti le moment où j’allais connaître ma première sodo. Contrairement à ce que je pensais, ça n’a pas été très douloureux. Il faut dire que les deux autres mecs me chauffaient tellement que mon cul débordait de désir. Le gros braquemart a eu du mal à s’introduire mais, une fois qu’il y a été, il s’est mis à coulisser presque aussi bien que dans ma chatte luisante. C’était fou de sentir ces deux gros nœuds se heurter, seulement séparés par ma paroi. J’ai joui plusieurs fois, sans me cacher. Le mec qui me bourrait le cul, agrippait mes nichons. Ils ont tous changé de place, chacun passant dans tous mes trous. Ils étaient terriblement endurants. Le ...
    ... premier à craquer a été Marco. Il était dans ma bouche. Je l’ai senti se cabrer à mesure que la pression de ses mains sur ma tête augmentait. Trop occupée à ressentir les coups de boutoirs des deux autres dans mes deux trous, je n’ai pas réagi et il a commencé à gicler abondamment jusque dans le fond de ma gorge, presque à me faire vomir. Pas habituée à ce petit jeu, j’ai réussi à me dégager de ce zob englué mais je n’ai pas pu recracher tout le sperme au goût amer et salé. Les couilles bien vides, il s’est assis sur un banc pour regarder ses deux copains me finir tout en buvant une bière. Ils ne baissaient pas de rythme. C’était Phil qui me trouait le derrière à grands coup de pine qu’il enfonçait jusqu’aux burnes dont je sentais les poils fournis me caresser les fesses. Je l’ai subi quand il a accéléré le mouvement avant de se retirer d’un coup pour venir me cracher tout au visage et me forcer à nettoyer le gland encore gonflé et dégoulinant avec mes lèvres. Puis il est allé rejoindre l’autre pour boire un coup. Le troisième m’a mis sur le dos et ma fourrée en missionnaire pendant un long moment, tout en essayant de me mordre les lèvres, pleines de la jutte de ses potes et en me mordant les tétons durs comme jamais. Il est venu se lâcher entre mes seins, en plusieurs longues giclées de foutre dont certaines se sont écrasées sur mon menton pour ruisseler après dans mon cou. Abattue mais comblée, je pensais en avoir fini, mais pas du tout. Satisfaits de mes services, ils se ...
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