1. Le journal des Glénants : deuxième partie


    Datte: 27/01/2019, Catégories: fh, fhh, extracon, cocus, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, fsodo, lettre, lettres, initfh,

    ... donner du plaisir. Mon sexe n’est pas un sexe de garçon même si le reste de mon corps peut t’inspirer une telle idée. As-tu vraiment pénétré le vagin de toutes les filles avec qui tu as fait l’amour ? Tu m’as dit que je serais la première fille que tu sodomiserais sans lui faire l’amour par la voie normale. Si cela est vrai, je tiens à le rester. Puis je me suis abandonnée à ses caresses. Alors il m’a allongée sur le côté contre lui, a humecté son sexe de sa salive et m’a lentement sodomisée presque sans douleur. Il est resté sans bouger dedans moi et c’est de nouveau par mes seins qu’il m’a fait jouir en les caressant de ses deux mains. Oh ! L’orgasme par mes seins ! La première emprise de ton amour, mon Marc, sur mon corps. Cet orgasme, TON orgasme, qui reste le tien même déclenché par Pierre, si doux, si diffus presque amène, clair ; tu l’as deviné malgré mes seins « virtuels » et tu me l’as offert en premier. Pierre l’a vite découvert mais il ne sait pas toute la part que tu y as prise. Ce matin mon corps était comme écartelé : cette douceur, cette clarté d’un côté et de l’autre l’obscurité, la violence que m’imposait le sexe de Pierre dans mon anus, la violence que mes muscles retournaient contre lui en le serrant convulsivement ! J’étais comme dédoublée dans le plaisir. Il n’a pas voulu que je le fasse jouir ni avec mes mains, ni avec ma bouche. Une fois sorti de mon corps et après une bonne douche il m’a dit : — Nous devons rencontrer les amis d’Éric ce matin dans une ...
    ... heure. Laisse-moi t’habiller. Mais là, j’ai voulu le provoquer un peu et je lui ai demandé avec le plus grand calme : — As-tu l’intention de me faire l’amour devant eux ?— Tu es folle, ce n’est vraiment pas leur genre, je t’ai dit ! Et n’oublie pas que tu es ma cousine… qui a vécu à Toulon, ce sera plus facile pour toi car j’ai l’impression que tu n’as pas l’habitude de raconter des histoires.— O.K. dans ce cas c’est moi qui choisis mes habits, va te préparer de ton côté. C’est ainsi que nous nous sommes rendus chez ces amis où nous vous avons retrouvé, Éric et toi. Pierre avait revêtu un blazer et un pantalon. J’avais passé une robe de la malle de Grand-Maman qui, je le savais, m’allait à ravir. Elle était d’un bleu clair tirant sur le mauve, avait un haut ajusté (qui ne cachait rien de ma poitrine inexistante, ce qui te ravissait, Marc, chaque fois que je la portais) rehaussé d’une dentelle bleu plus foncé et une jupe large que j’avais raccourcie au-dessus des genoux. Lors des présentations j’ai découvert un Pierre intimidé, un peu gauche, et je l’aurais presque aimé. Au mot de cousine, tes sourcils, Marc, se sont soulevés et tu m’a fait une grimace désopilante. J’ai éclaté de rire en me disant que je devais passer pour une parfaite idiote. J’ai surpris le regard du maître de maison sur notre petit jeu et qui s’est ensuite attardé sur mon corps. Je crois ne m’être jamais sentie autant mise à nu. J’ai rougi et mes seins ont durci au point que j’ai instinctivement croisé mes ...
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