1. Le journal des Glénants : deuxième partie


    Datte: 27/01/2019, Catégories: fh, fhh, extracon, cocus, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fdanus, fsodo, lettre, lettres, initfh,

    ... bras sur ma poitrine. J’ai reçu en réponse un sourire de fauve. Contrairement aux paroles de Pierre, je ne crois pas qu’il aurait été choqué si, avec Pierre, nous avions fait l’amour devant eux ! Toi, tu t’amusais comme un petit fou et Pierre parlait avec la maîtresse de maison. C’était une très jolie personne, tu t’en souviens, n’est-ce pas. Mais je ne l’ai pas vue longtemps car elle a disparu assez vite avec Pierre pour régler les détails techniques de la maison. Nous avons pris possession de la maison ce même soir après la sortie de voile programmée (préparation d’une régate oblige). Notre trio d’Allemands devait arriver à ce moment-là. Le soleil n’était pas encore couché et il inondait l’espace de couleurs irréelles, rendant encore plus jolis les alentours de la maison. En entrant, j’ai tout de suite senti, sans le voir réellement, qu’Éric était ici. Pierre a commencé par enlever mon polo puis il m’a entraînée dans toutes les pièces de la maison. Finalement nous avons, ensemble, choisi notre chambre, donnant de plain-pied sur un coin discret de la piscine. Debout tous deux dans l’embrasure de la fenêtre, Pierre derrière moi m’entourait de ses bras et caressait lentement mes seins. Je goûtais le charme de l’instant et la lumière magique. Éric nous photographiait avec sa discrétion habituelle. J’ai doucement posé ma tête sur l’épaule de Pierre et il m’a embrassée longuement. «Comme Marc l’aurait fait » me suis-je dit. Et cette idée m’a donné un frisson. Pierre m’a demandé ...
    ... si j’avais froid et ses paroles ont rompu le charme. À cet instant nous avons entendu une voiture s’arrêter brusquement. Nous avons compris qu’il s’agissait de nos Allemands. J’ai voulu m’échapper pour me rhabiller mais Pierre m’a retenue d’un geste : — Ce serait dommage, m’a-t-il soufflé à l’oreille, tu es si excitante ainsi. Et lui-même s’est mis torse nu. C’est dans cette tenue que nous avons accueilli Gabrielle, Hans et Ludwig qui n’ont pas paru choqués le moins du monde. J’ai mis quelque temps à me détendre. Ils parlaient, en effet, très mal le français et j’ai dû jouer les interprètes tout au long de la soirée et par la suite. Gabrielle était une fille extraordinaire, grande mais pas trop, des jambes élancées qui sortaient d’un short vert, colorées en rose par le couchant. Des yeux verts et une chevelure blond très clair retenue en queue de cheval. J’ai tout de suite remarqué ses seins ronds très haut placés, pas trop gros et qui se tenaient droits sans soutien-gorge. Le tout surmonté d’un sourire qui aurait fait fondre n’importe quelle glace. Pierre était subjugué mais son attitude n’était pas celle du chasseur qu’il avait prise à mon égard. C’était plus de l’admiration. J’ai même noté qu’il ne bandait pas ! Ce ne sont pas des choses que des jeunes filles devraient remarquer. Mais étais-je encore une « jeune fille » ? Les deux compagnons de Gabrielle étaient aussi grands qu’elle, débonnaires, décontractés et, eux, me regardaient en bandant ! Pendant toute la soirée que ...
«1234...14»