1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°827)


    Datte: 27/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°826) – - Assis-toi à ta place, et trinquons ! dit-Il, après avoir mis mon sous-vêtement dans une de Ses poches. On nous a amené nos apéritifs pendant ton absence ! Je t’ai commandé un cocktail… Durant tout le temps du repas, tu as le droit de me regarder furtivement, sauf contre ordre de ma part. Mais jamais trop longtemps non plus, pas de fixation de ton regard sur Le Maître… Effectivement, devant Lui était posé un verre de whisky avec deux glaçons, mais devant moi je ne vis rien d’autre qu’un verre d’eau. Je ne comprenais pas, il avait pourtant commandé un cocktail pour moi. Ayant l’autorisation, je levais donc vers Lui des yeux interrogatifs sans trop insister sur la durée de mon regard. Mais Il resta impassible, tout en me tendant son verre. Je pris donc le mien remplit d’eau et nous fîmes tinter le cristal. Faisant mine de laisser tomber sa serviette à terre, le Maître voulut que je la Lui ramasse. Je passais donc sous la table, dont la longue nappe arrivait au sol sur deux côtés, me cachant ainsi au reste de la salle. Une fois à Ses pieds, je vis une gamelle posée par terre avec l’apéritif, le cocktail, qu’Il m’avait choisi. Une main se posa sur ma tête, appuyant légèrement, me faisant comprendre de le laper, ce que je fis avec joie. Il était sans alcool, ce qui me rassura, et je bus tout jusqu’à la dernière goutte en étant à quatre pattes sous la table … Puis un claquement de doigts se fit entendre. Je compris ...
    ... vite ce que le Maître exigea. Sa main appuyant cette fois ma tête entre son entrejambes. Comme la nappe longue de la table me cachait du reste des clients du restaurant, je n’eus aucune gêne pour obéir et je défis le bouton du haut de son pantalon et sortit sa verge déjà à demi dressée de son caleçon. Puis je le pris en bouche avec délice et je l’avoue avec envie. Je sentis Son noble sexe qui forçait sans peine la barrière docile de mes lèvres et se frayait un passage jusqu'au plus profond de ma gorge, jusqu'à presque m'étouffer... Puis, lentement, ma bouche allait et venait sur Sa verge qui avait encore gonflé et durci dans ma bouche qui dégoulinait de salive, lubrifiant Sa queue qui possédait ma cavité buccale comme n'importe quel orifice que Le Maître aimait à pénétrer fréquemment, marquant ainsi Son Emprise sur moi, sa femelle. Et je ne pouvais m'empêcher d'être excitée par la dépravation que je vivais, par l'abdication de toute pudeur à laquelle je cédais afin de satisfaire les Exigences les plus perverses de Celui qui était désormais Le Maître absolu de mon corps de mon esprit ... Je le suçais ainsi durant quelques longues minutes quand sans éjaculer, il se retira de ma bouche, et je l’entendis me dire : - Alors tu l’as trouvée cette serviette ? Ou a-t-elle pris la fuite ? dit-Il d’une voix amusée. Comprenant, je sortis de sous la table, reprenant ma place et lui tendant le bout de tissu que j’avais pris soin de ramasser préalablement. Je ne doutais pas que le repas ...
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