1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°827)


    Datte: 27/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... ! Moi j’étais recroquevillée sous la table, je sentais que d’une manière ou d’une autre j’allais être utilisée !... Le Maître posa l’assiette de viande hachée par terre à Ses pieds, où il y avait également déposé une assiette de purée, qu’à la couleur, je supposais être à la carotte. D’une tape sur Sa jambe Il me fit comprendre de me mettre à manger à quatre pattes, telle une bonne chienne. Pendant le repas des deux hommes (mon repas avait été rapidement avalé, n’ayant personne avec qui converser), je me sentis tirée en arrière par les cheveux. Walter avait ouvert la ceinture de son pantalon, sortit son sexe, et attirait ma tête vers celui-ci. Je commençais donc à lécher d’abord les couilles, les prenant en bouche, les faisant rouler doucement, puis le membre fièrement dressé, avant de le prendre franchement en bouche, le suçant, le mordillant, le faisant gonfler de plus en plus. Quand soudain, je sentis l’œuf vibrant se mettre en marche, en réaction à cette soudaine action excitante, par réflexe involontaire, je mordis un peu le Majordome, car il poussa un petit cri. Il me tira alors hors de sous la table, me laissant à genoux à la vue de tous les clients, et il me mit une paire de gifles retentissantes ! Je vis plusieurs personnes se retourner et je baissais alors la tête honteuse et humiliée que des personnes vanilles puissent me voir dans cette position. Ce qui me surprit, c’est qu’aucune personne ne semblait étonnée ou choquée et tous se remirent à déjeuner comme si ...
    ... rien n’était, après pour certains, quelques ricanements humiliants, comme si en fait tous ces clients étaient du monde de la D/s, ce qui me paraissait, à y réfléchir, de plus en plus évident... Les vibrations s’étaient faites plus fortes. Walter me repoussa sous la table, et m’attira de nouveau à lui pour que je finisse ce que j’avais commencé. Les vibrations variaient en intensité, en rapidité, parfois s’arrêtaient. Je n’avais pas eu le temps d’apercevoir le Maître pendant que Son bras droit s’occupait de moi, et je me doutais qu’Il devait être mécontent de Sa chienne. Et j’en étais encore plus mortifiée de l’avoir déçu plutôt que de savoir que les clients du restaurant avaient pu me voir ! - Humm, il va y avoir incessamment une de Mes chiennes qui va devoir apprendre à se contrôler et qui devra être punie pour ne pas savoir maîtriser sa mâchoire ! dit-Il d’une voie glaciale. J’espère qu’elle ne t’a pas fait mal, mon ami ? - Non, Monsieur le Marquis, je Vous remercie. Cependant je n’aurais pas été contre quelques coups de fouet ou de cravaches, ici même ! Mais pas avant la fin du repas ! - Qu’à cela ne tienne ! Nous verrons cela après le café qu’en dis-tu ? - Je Vous laisse Maître de la situation, Monsieur le Marquis ! Et ils reprirent leurs discussions et leur repas. Je sentis enfin la semence du Majordome s’écouler au fond de ma gorge, m’offrant là un petit dessert. Mais j’étais terrifiée (et paradoxalement excitée) par ce que j’avais entendu. J’allais être punie dans le ...