1. Banquière perverse (21)


    Datte: 28/01/2019, Catégories: Divers,

    ... entier accompagne d’un mouvement de va-et-vient. Bien évidemment je bande dur, elle le sent et me sourit encore, car elle sait bien que cette façon de faire m’excite en un rien de temps ; sans s’arrêter elle me dit : — Et toi, qu’as-tu fait pendant tout ce temps ? J’espère que tu as bien baisé la patronne ? Allez raconte ! me supplie-t-elle. Alors je lui raconte ma semaine, je mentionne le nom d’Émilie sans plus de détails ; et elle ne s’arrête pas de bouger. Elle se remonte sur moi, et dans un doux soupir, elle s’empale sur mon vit, son antre est tellement humide qu’il glisse tout seul et là ; j’arrête mon récit. Comme c’est bon, comme c’est doux, ajouté à mon Amour pour elle la sensation d’un bien-être parfait est réelle ; je ferme les yeux pour mieux savourer ce moment si jouissif. J’arrête mon récit pour mieux savourer ce moment de bonheur, mais elle me rappelle à l’ordre. — Non-non, t’arrête pas ; continue ! Et tu as fait quoi avec cette Émilie ? Je t’interdis de t’arrêter de raconter, alors j’attends la suite ! m’ordonne-t-elle en souriant. Je viens de découvrir que raconter une aventure de sexe pendant que ma nana s’est empalée sur toi sans arrêter d’aller et de venir est quelque chose de très difficile mais d’excessivement bon. À certains moments je n’arrive plus à me concentrer sur le récit de l’exhibe avec Émilie et je stoppe régulièrement ; mais elle est là pour me remettre dans le droit chemin en me pinçant les tétons. Quand mon récit se termine elle arrête ...
    ... tout. — Dommage, pourquoi t’arrêtes-tu ? J’allais bientôt jouir ! je proteste. — Attends ce soir, car je voudrais que tu me fasses l’amour longtemps, dans le calme, avec tendresse et rien que nous deux. Quelle belle idée vient-elle d’avoir car on frappe à la porte... — Entrez ! dis-je. Rien ne se passe, pas une voix, pas un son. Alors, je le lève et je me dirige vers la porte avec le sexe encore à la verticale. J’ouvre et là, surprise ! Lacksimy entièrement nue, tête basse, menottée et tenant entre ses mains un martinet. Elle relève la tête, me présente un visage triste et ravagé par les larmes. — Excusez-moi de vous déranger. Issam, je voudrais demander pardon à Gladice, je... j’ai... — Gladice ! C’est Lacksimy qui voudrait te demander pardon ! — Qu’elle aille se faire foutre ! Fous-la dehors, je ne veux pas la voir ! invective ma Chérie. — Pitié, Gladice, laisse-moi entrer, s’il te plait... supplie-t-elle. — Allez Gladice laisse lui une chance... — Pour qu’elle me massacre ! Certainement pas, allez oust ! — Regarde-la, je pense qu’elle ne te fera rien. Elle se redresse sur le lit, je fais entrer Lacksimy ; Gladice ne cache pas sa surprise en la voyant, mais son regard foudroie la pauvre fille en larmes. — Bon d’accord, mais je compte sur toi pour la maîtriser au cas où ! — Ne soit pas inquiète, je veille ! — Mais qu’est-ce que tu fous à poil, avec ces menottes ? interroge ma belle. — Je suis venu te demander pardon, je regrette de t’avoir fait souffrir. Tiens prends ça et ...
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