La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°971)
Datte: 28/01/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... célèbre Monsieur le Marquis d’Evans… Alors que les festivités commencent ! Vous allez donc pouvoir user et abuser de toutes ces femelles comme vous l’entendez ! Mais avec organisation. Comme vous pouvez le voir nous sommes cinq, et elles sont réparties en cinq groupes. Chaque endroit est différemment équipé. Nous tournerons avec les groupes tels qu’ils sont, puis les chiennes changeront de coin. De telle manière qu’elles passeront toutes par tous les « ateliers », et que nous, nous pourrons les faire cinq fois, avec chacune d’entre elles… Une salve d’applaudissements s’éleva en honneur du Maître et Celui-ci salua poliment ses hôtes marquant ainsi sa reconnaissance… Dans la première zone, il y avait une croix de St André et des anneaux au sol. Dans la seconde, il y avait une sexe-machine et un fauteuil. Dans la troisième, une table gynécologique. Dans la quatrième, une sorte de boîte où on ne pouvait se tenir dedans qu’en position de levrette. Et enfin dans la cinquième juste un tapis posé au sol. J’étais dans la première zone, et le Maître fut désigné pour commencer par la seconde, ce qui fit que ce fut le dernier Dominant à venir user de ma compagne de chaîne et de moi-même. Et posés sur des tables éparpillées dans la pièce, se trouvaient des accessoires tels que pinces, fouets, badines, plugs, œufs, élastiques, baguettes, etc... Le premier homme qui vint vers nous choisit de me placer sur la croix et la deuxième soumise eut les chevilles et les poignets attachés au sol. ...
... Elle était placée de telle manière que, si elle relevait la tête, celle-ci se retrouvait placée entre mes cuisses. L'homme l'attrapa par ses longs cheveux noirs et attira justement sa tête vers ma chatte. Il lui fallut tirer fortement la langue pour qu'elle puisse atteindre son but. L'homme l'y aida en lui donnant des coups de fouet sur son cul. On ne m'avait pas interdit de jouir, mais on ne m'en avait pas donné non plus l'autorisation, et avec le Maître tout proche, je préférais ne pas prendre le risque de laisser éclater un orgasme, mais le fait que parfois la langue ne faisait que m'effleurer m'excitait d'autant plus, et ce ne fut pas évident de me retenir. L'homme qui se nommait Kee Maang, exigea que la chienne continue son léchage, puis s'éloigna un peu et se fut mon corps qu'il se mit à fouetter, régulièrement et fortement, les coups étaient cinglants et rougissaient rapidement ma peau, y laissant de longues estafilades. La soumise qui avait sa tête entre mes cuisses en reçut également, surtout lorsqu'il visait mes cuisses. Elle ne devait pas manquer de liquide pour s'hydrater, car malgré la douleur, j'étais très excitée et je savais que ma chatte était plus que mouillée ! Quand plus une partie de mon corps accessible fut bien rougi, il lâcha enfin son fouet. Et alors que je pouvais enfin souffler un peu, il s'agenouilla derrière la chienne au sol, et l'enfila d'un coup, la faisant crier autant de surprise que de plaisir, car elle aussi était apparemment trempée. Il la ...