1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°971)


    Datte: 28/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... bourra, la besogna, la faisant crier sans relâche sous ses coups de boutoirs puissants, profonds et cadencés. On aurait dit qu'il n'avait pas pénétrer de femelles depuis un moment, tant ses mouvements étaient empressés, violents même. Et très vite, dans des ahanements bestiaux, il déchargea au fond de sa chatte. Il se releva, nous détacha et nos places s'inversèrent, et ce fut moi qui dut lécher la chienne qui se trouvait à son tour sur la croix. J'étais plus grande qu'elle et il me fut plus facile de garder mon visage collé entre ses cuisses. Quand elle jouit, rapidement sous mes coups de langue, je me rendis compte que c'était une femme fontaine, et je fus largement abreuvée. Kee Maang s’exclama en hindoue juste avant de me baiser et sans comprendre un seul mot, je devinais au ton de ses propos enthousiastes qu’il venait de dire un truc dans ce genre : - Une esclave MDE, hummm ! Le meilleur pour la fin ! Alors après avoir pénétré la chatte de la femelle, il but je ne sais quel breuvage aphrodisiaque et rapidement il rebandait déjà de nouveau et décida de me prendre par le cul, sans préambule. Il m'enfila d'un coup sec. Ce ne fut pas trop douloureux, grâce à l'entraînement imposé par le Maître à avoir en quasiment permanence un plug large et épais enfoncé dans mes entrailles. On aurait dit qu'il n'était pas habitué au silence. J'aurai pu croire qu'il voulait s'enfoncer si profondément qu'il aurait pu ressortir par ma bouche s'il l'avait pu ! Il me pilonnait avec force, ...
    ... ses couilles battaient contre ma chatte. Il me laboura le cul plus longtemps qu'il ne s'était occupé de la chatte de ma compagne de " jeu". On aurait vraiment pu penser qu'il cherchait de toutes ses forces à me faire crier. D'ailleurs, cette fois dans un anglais approximatif, il me sembla à un moment qu'il avait murmuré - J'arriverai à te faire plier chienne MDE, tu ne resteras pas si fière longtemps. Visiblement l'éducation des femelles en Inde différait de beaucoup de celle des chiennes françaises ! Je ne jouissais toujours pas non plus, n'en ayant pas reçu l'autorisation. Il finit après un très long moment par se vider au fond de mon cul, mais il se releva rageusement. Il empoigna son fouet et m'en administra sans discontinuer. Je serrai les dents de douleurs, même si ma chatte, elle, se répandait d'excitation et de plaisir. La correction commençait à devenir longue malgré mon endurance. Ce fut le Maître qui finit par lui saisir le poignet, lorsque des petits filets de sang commencèrent à apparaître. Ils s'expliquèrent à voix basse, puis Monsieur le Marquis s'approcha de moi et releva ma tête qui était restée baissée tout le temps, pour me regarder droit dans les yeux. Son regard avait le pouvoir de m'hypnotiser, de m'apaiser, et ma douleur se calma instantanément. - Ici, ma chienne, c'est une preuve de virilité que de faire crier et jouir indéfiniment une femelle. Je suis très fier de toi! Tu as fait honneur à mon éducation, mais pour tout le temps que nous passerons ici, ...