1. Cours de physique


    Datte: 29/01/2019, Catégories: fplusag, jeunes, profélève, école, intermast, pénétratio, init,

    ... aurait dit une fille de quatorze ans lors de son premier baiser, une débutante. Nos mentons se sont pratiquement heurtés, en douceur. Puis mes lèvres ont trouvé les siennes. Sa bouche était brûlante. C’était très léger au début, un baiser papillon. Puis nos lèvres se sont retrouvées collées les unes aux autres encore une fois, puis une autre, puis une autre encore, sans qu’on sache trop comment. Je me suis redressée d’un bond. — Lionel… Qu’est-ce que… Toute rouge, tremblante, j’ai passé ma main sur mon front. Il se tenait devant moi, grand, la tête courbée, le regard grave. J’ai saisi mon sac, ai balbutié quelque chose qui ressemblait à un pathétique au revoir, puis suis sortie de la classe en courant. C’était une semaine plus tard. Fin du cours, encore une fois. Il est resté un peu après, comme d’habitude. Mais cette fois-là, ça s’est passé différemment. Lorsque nous avons été seuls tous les deux, je n’ai rien dit. J’ai simplement marché jusqu’à lui, j’ai levé la tête. Puis j’ai passé ma main derrière sa nuque de petit garçon, je l’ai fait pencher vers moi, et je l’ai embrassé presque en le mordant, oubliant tout, m’abandonnant. Il a laissé choir son sac par terre, mis ses bras autour de moi, et m’a étreint avec une force démesurée tout en continuant de m’embrasser. Ses lèvres se sont entrouvertes ; nos langues ont forcé le passage, se sont caressées, ses joues déjà chaudes se sont embrasées au contact de mes doigts. — Madame Bardeau… a-t-il murmuré.— Appelle-moi Serena, ...
    ... je t’en prie. Il était adorable. Il avait l’air d’un homme-enfant, à me tenir comme ça, à m’embrasser ainsi en m’appelant Madame. Sans un mot, j’ai marché jusqu’à la porte de la classe. Elle est tout en bois, sans fenêtre. Je l’ai barrée. Pendant ce temps, il s’était approché, avait emprisonné ma taille de ses grandes mains et me mordillait le cou par-derrière. Je frémissais, les yeux fermés. Sa chaleur était enivrante, l’odeur mâle de son jeune corps aussi. J’avais tellement envie de lui que c’en était sans doute anormal. Je l’ai entraîné jusqu’à mon bureau, un meuble assez grand, que je savais solide pour m’être souvent assise dessus en donnant mon cours. Comme des siamois, greffés l’un à l’autre par la bouche, nous avions un mal fou à nous séparer, n’était-ce que pour respirer un peu. Je me suis assise sur le bord du bureau, le tenant par les pans ouverts de sa chemise. Il s’est à demi couché sur moi, c’était terriblement bon de le sentir ainsi. J’ai saisi son poignet, et l’ai guidé entre mes cuisses, écartant les jambes pour l’aider un peu. Ses doigts ont exploré, timidement d’abord, les contours de ma culotte noire, avant de l’écarter, pour finalement se glisser, un à un, dans mon sexe brûlant. La tête renversée, j’ai exhalé un soupir de plaisir tandis qu’il accélérait peu à peu le rythme de son va-et-vient. Il me couvrait le cou, les joues, les épaules de baisers papillon tout en continuant de me doigter, avec un doigt au départ, en ajoutant un deuxième, puis un autre ...
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