1. Dégradation d'une bourgeoise 2


    Datte: 29/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Deux à trois fois par semaine, mon téléphone sonnait : « J’arrive dans 10 minutes ; tu seras à poil à genoux derrière la porte ». Il arrivait, me baisait brutalement et partait, parfois sans rien dire. Je n’osais pas protester de peur de faire savoir à ma fille comment sa mère était devenue une dépravée. Un jour il arriva en disant « Prends ta voiture et ta carte bleue ; on va faire des achats ». Il me mena dans une boutique de lingerie osée et j’en suis ressortie avec une collection complète de strings, plus petits les uns que les autres, de soutiens de couleurs, de guêpières, d’escarpins avec des talons sans fin, de bottes, cuissardes, etc… mon compte en banque fut sérieusement allégé ce jour-là. - Désormais tu sais comment t’habiller quand je viens. Devenue pute, il faut que tu t’habilles en pute. J’avais honte, mais je n’osais rien dire. Un jour, le téléphone sonne : « Je suis là dans 10 minutes ; je veux te voir en guêpière derrière la porte ». - Ce n’est pas possible, le plombier est en train de réparer la chaudière. - Je m’en fous, obéis… Malgré le fait que je savais que je serais punie, je restai habillée normalement. Lorsqu’il arriva, il piqua une colère épouvantable. - Pardon Maître, mais le plombier est présent… - Va te foutre à poil et à quatre pattes sur ton lit et attend Je n’osai pas refuser et je me déshabillai en fermant la porte. La porte s’ouvrit lorsque j’étais nue sur le lit, la croupe tendue vers la porte. Gérard entra et je l’entendis dire. - Voilà, ...
    ... faites-vous sucer pendant que je la baise ; ne craignez rien ; cette pute est mon esclave. Quelle dégradation ; être obligée de sucer cet homme qui avait bien 60 ans ; être exhibée nue devant cet inconnu…et ne pas pouvoir réprimer les cris de jouissance que la bite de mon Maître provoquait en moi. Vite ma bouche s’emplit de sperme ; l’homme lâcha tout en me disant « Avale salope ». Gérard déchargea son sperme dans ma chatte. Il montra en riant au plombier le sperme qui en sortait pour couler sur les cuisses. Le plombier se rajusta, termina son travail et s’en alla sans rien dire. - Maintenant, la punition. Mets une robe…une courte ; rien en dessous. Prends ta voiture ; je te dirai où aller. Après un court trajet, nous nous arrêtons devant une boutique indiquant : « Tout pour le cheval ». - Entre ici. Un homme s’approcha de nous demandant ce que nous désirions. - Je voudrais une cravache et un fouet. - C’est pour quel genre de cheval ? - Celui-là dit Gérard en me montrant. - Dans ce cas, je vais appeler ma femme ; c’est sa spécialité. La femme arriva immédiatement. C’était une jolie brune, vêtue d’un pantalon de cuir, d’un chemisier blanc et d’escarpins à talons assez impressionnants. - Monsieur voudrait une cravache et un fouet pour Madame. Elle s’approcha de moi en me toisant. - Alors ma belle, on est esclave…j’adore cela. Puis s’adressant à Gérard : « Quel genre de cravache ? Dure ou souple ? Dure c’est bien pour le dos ou les fesses ; souple c’est pour le sexe. Voulez-vous ...
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