1. Dégradation d'une bourgeoise 2


    Datte: 29/01/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... une démonstration ? Gérard fit oui de la tête. Elle me mena dans une pièce adjacente et m’ordonna d’ôter ma robe. Voyant que j’étais nue, elle fit une moue d’admiration. - Jolie la petite pute… des seins superbes, un ventre lisse… mon cher, je vous félicite, vous avez là une bien belle esclave et qui, en plus, semble docile. Ventre contre la table et penches toi. Tremblante, j’obéis et je tendis ma croupe. Le premier coup me fit l’effet d’une décharge électrique ; le deuxième fut comme une brûlure intense. J’en reçus cinq sans aucun ménagement. Je me mis à pleurer en la suppliant d’arrêter. C’est alors que je sentis un doigt qui pénétra mon intimité. - Voyez, elle mouille, une véritable fontaine. Elle aime ça la salope. On va la calmer. Couche-toi sur la table et tend ta chatte vers moi. Et obéis, sinon je te donne 25 coups. Gérard ricanait en me voyant ainsi. Je fermai les yeux…la cravache s’abattit sur mon clitoris provoquant une véritable onde de choc. Je hurlai. - Pitié Madame, arrêtez, je n’en peux plus. Un second coup me fit me tourner de douleur ; je portai mes mains à mon sexe. Les larmes coulaient abondamment. - Bon, on va arrêter là…vous avez vu comment il fallait s’y prendre. Si vous voulez encore une leçon, n’hésitez pas à venir me voir. Pour le fouet, je vous conseille ceci. Mettez la nue dans un espace clos, cave, grenier ou autre et poursuivez-la en la fouettant. Elle courra dans tous les sens pour éviter le fouet et vous aurez bien du plaisir en la voyant se ...
    ... trémousser. Et si un jour vous n’avez rien à faire, prêtez-là moi pour quelques heures…j’aime m’occuper d’esclaves. Gérard me ramena chez moi, me disant que j’avais eu assez pour aujourd’hui et que je pouvais me reposer. Je m’examinai nue devant le miroir. Mes fesses étaient striées de ligne, mon dos était rouge quant à mon sexe, il était excessivement douloureux. --------------------- Désormais j’avais droit à des séances régulières de fouet ou de cravache. Heureusement Gérard frappait moins fort que la dame du magasin, mais mes fesses et mon dos conservaient les traces du traitement qui m’était infligé. Je n’osais presque plus me mettre une robe décolletée, encore moins me mettre en maillot. Quant à être nue, il n’en était pas question. Un jour ma fille me demanda de l’accompagner avec Gérard pour passer un week-end à la mer. J’usai de tous les prétextes pour refuser à son grand désappointement. - Il faut que tu te remues un peu ; tu sembles fatiguée ces derniers temps…viens, cela te fera du bien. Je ne pouvais, bien entendu, pas dire à ma fille que je ne pouvais pas me montrer sur une plage et encore moins que la présence de Gérard me répugnait. Je refusai donc cette offre. Le soir coup de téléphone de Gérard. - Alors salope, on ne veut pas nous accompagner. Tu viendras, sinon tu connais la sanction Je m’entendis dire dans un murmure : « Oui Maître ». Le voyage se passa sans mal, la soirée idem, puis il fut temps d’aller se coucher. J’étais soulagée, Gérard était charmant, ...