1. C'est le printemps


    Datte: 30/01/2019, Catégories: f, fh, inconnu, noculotte, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, ecriv_f,

    Je perçois les bruits de l’extérieur, la rue qui s’éveille, il doit être tôt encore, le marché n’est pas encore ouvert, on entend les chalands installer leurs étales. Le soleil brille, je le sens, pas besoin d’ouvrir les paupières, la lumière, déjà forte pour l’heure matinale, essaye de traverser ma peau comme pour dire: « Allez, c’est le printemps, debout jeune fille ! ». Je me suis couchée très tard et trop fatiguée pour fermer les volets hier soir, si bien que je suis saisie par les éclats du soleil sur le mur d’en face, éclats qui semblent dégouliner jusque sur mes draps comme un fruit trop mûr. Je me libère de la couette devenue soudainement trop chaude, mon corps encore endormi semble vouloir reprendre vie sous l’effet de la lumière naturelle. Sur le dos, sur mon lit chaud, je laisse mes mains parcourir ma peau. Sur mon ventre elles tournent, vont et viennent, elles dansent. Mes cuisses s’écartent et je sens la chaleur du soleil rencontrer la mienne, tout doucement. Mes tétons durcissent et mes mains quittent mon ventre pour venir les caresser, les pincer un peu, pas trop fort. Mes doigts titillent mon téton gauche tandis que mon sein droit est tout entier dans ma main, dorloté, pressé, caressé. L’excitation monte alors plus vite, mes jambes sont très écartées et je sens mon clitoris gonfler, mon sexe s’humidifier. Je retarde encore un peu le moment où je vais me caresser, me donner un plaisir digne de ce beau matin de printemps. Je laisse mes mains retomber de chaque ...
    ... côté de mon corps, concentrée sur la chaleur du soleil qui semble vouloir me pénétrer. Je suis tellement excitée à l’idée d’être réveillée de façon si lubrique que j’introduis deux doigts dans ma chatte bien mouillée. Je lâche un soupir de contentement. Mes doigts entrent et sortent activement et mon autre main caresse mon clitoris. Cette masturbation délicieuse dure longtemps, je change de doigts, je respire l’odeur de ceux qui sortent, enduis de salive ceux qui entrent, je caresse mon petit trou du cul et sa rondelle dilatée. Je m’agenouille sur le lit, les cuisses bien écartées, une main devant, l’autre derrière et ne tarde pas à jouir violemment. Ce genre de réveil me met vraiment de bonne humeur et c’est avec le sourire que je descends de ma chambre. Une douche, un rapide petit déjeuner et je décide d’aller faire un tour au marché. D’humeur coquine, je revêts simplement une petite robe légère, très courte, je ne mets pas de soutien-gorge. Sous ma robe, un string en dentelle, et sur ma robe, un petit gilet en coton. Sur le marché, les promeneurs affluent. Comme toujours, entre le primeur Quatre Saisons et le poissonnier, c’est l’embouteillage : les poussettes gênent, les gens stagnent, indécis ("Chéri, tu veux de la lotte ou de la morue pour ta mère demain ?",…), les plus pressés poussent, mais moi, ce matin j’ai tout mon temps, je me laisse donc emporter par le flot humain. Arrêtée depuis plus de cinq secondes, je regarde autour de moi. Je m’aperçois qu’à ma gauche un ...
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