1. C'est le printemps


    Datte: 30/01/2019, Catégories: f, fh, inconnu, noculotte, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, ecriv_f,

    ... homme très grand lorgne de façon très insistante sur mon décolleté. Je baisse la tête un peu gênée, mais trouve cela flatteur et agréable. Dans le sens inverse, une grosse dame très chargée essaye de se frayer un chemin et je me retrouve complètement collée à cet homme. Non seulement je suis encore émoustillée par mon récent orgasme, mais en plus, j’ai de la chance : quoiqu’un peu plus vieux que moi, cet homme est plutôt séduisant : les yeux noirs, les cheveux bruns, grisonnant ça et là, un large sourire et bien bâti, enfin le haut, parce que je ne peux voir que son buste. Collée à lui, je profite de son odeur et je prends plus de temps qu’il n’en faudrait pour m’éloigner de lui. Comme par jeu, je remarque que le bel inconnu reste derrière moi et se rapproche subitement dès que le moindre ralentissement s’annonce. Il se colle alors à moi et je sens ses mains frôler mes cuisses ou son sexe appuyer contre mes fesses. Je me prends à espérer plus de ralentissements et je souris de mon comportement libertin mais peu prudent. Jusqu’où vais-je aller dans cette provocation et que suis-je prête à faire ? Et lui ? Je presse le pas pour me donner bonne conscience, installant une distance plus raisonnable entre mon corps et l’objet de son désir. Etourdie par mes pensées et la foule, je décide de rentrer. Demi-tour, je passe acheter des tomates et quelques courgettes, une baguette et, hop, à la maison. Devant chez moi, je m’arrête et fouille dans mon sac pour chercher mes clés. Le sac ...
    ... de courgettes et de tomates est à mes pieds, je me penche pour le ramasser quand je sens quelqu’un juste derrière moi se pencher aussi prendre ma main en même temps que le sac. Je me retourne brusquement et intérieurement exulte : oui, c’est lui, il m’a suivie, j’ai vraiment envie de le toucher, de me faire caresser par cet homme. Mais je ne le connais pas, je n’ai jamais fait ça avec un inconnu, j’ai peur de faire une énorme bêtise. Mes yeux expriment comme ils peuvent mon incapacité à faire un choix, je ne parle pas. Il sourit et me fait signe qu’il comprend. Gentleman, il me baise la main et s’éloigne en disant : — Je m’appelle Nicolas, enchanté. La clé tourne dans la serrure, je monte dans ma chambre et enlève mon string, je suis trempée, je m’en veux de ne pas l’avoir invité à entrer. Je me caresse à nouveau mais moins joyeusement que ce matin. Je regarde la fenêtre, et me dis que, oui, peut-être. Je l’ouvre et me penche : — Nicolas !— Oui, Mademoiselle ? Mon sourire vaut toutes les explications, toutes les demandes difficiles à formuler. Quand la sonnette retentit je suis déjà derrière la porte. Le baiser que nous échangeons est passionné et intense. Ses mains vont directement sous ma robe et il s’étonne de ma nudité. — Vous faites souvent le marché les fesses à l’air ?— Euh… non. Non, non. En fait, je viens de l’enlever.— Ha, d’accord, pour me faire revenir ? Il est irrésistible et je rougis comme une pivoine. Nos baisers redoublent d’intensité et je me retrouve assise ...