1. Linda et le Airbnb


    Datte: 31/01/2019, Catégories: fh, hplusag, inconnu, enceinte, fépilée, voyage, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, ffontaine, fsodo, occasion,

    Ceux qui me connaissent et ont pu apprécier «Femmes enceintes… » et «Matthias et la femme enceinte ». Tous, vous savez combien j’apprécie les femmes durant ce moment si particulier. Alors, vous ne serez pas étonnés de cette nouvelle aventure érotique et je vous fais confiance pour l’apprécier à sa juste valeur. ___________________________________ Dernièrement, je devais séjourner dans la capitale européenne de Bruxelles pour quelques jours. Limité dans les budgets impartis, car chichement remboursés, et effaré par les prix pratiqués par les hôteliers outre-Quiévrain, je choisis un système Airbnb, peu éloigné des lieux de mes rendez-vous et trouvai ce que j’espérais être un « bon logement ». Par messagerie interposée, j’avais rendez-vous avec une certaine Linda qui devait me réceptionner, m’ouvrir et me remettre un jeu de clés. Ainsi donc, je me retrouvai à attendre les clés d’un appartement dans une rue de Bruxelles, vers six heures du soir, sous les joyeuses lumières des guirlandes de Noël, illuminant ce quartier très chic de l’avenue Louise et ses magasins de luxe. Après quelques minutes d’attente, une jeune femme brune, la mise en plis un peu ébouriffée, m’interpella : — Bonsoir, je suis Linda, je crois que nous avons rendez-vous !— Euh, oui… c’est moi qui loue votre logement… Eh non, vous n’êtes pas en retard, c’est bien moi qui suis en avance… Alors qu’elle reprenait son souffle, rassérénée, je l’observai, la détaillai… Grande, brune aux cheveux flottants sur les ...
    ... épaules, elle était largement enveloppée dans une grande houppelande couleur passe-murailles qui cachait ses formes. Était-elle plantureuse ? Dodue ? Forte ? Non, elle était enceinte… Dès lors, mon imagination perverse vint prendre le pas sur tous les autres clichés qui pouvaient venir occuper mon faible esprit d’homme pour exciter mon cerveau reptilien toujours en besoin. Sans plus attendre, elle sortit un jeu de clés de son sac et commença son laïus de réceptionniste. Je la suivis, distrait par ses formes tout en retenant ce qu’elle me prodiguait en conseils. Encombré d’une valise et d’un sac, elle fit le choix de prendre les escaliers en me laissant l’ascenseur, boîte on ne peut plus étroite et ancestrale. Plus tard elle devait m’avouer avoir peur de cet appareil. Et pour tout dire, nous sommes arrivés de concert au second étage, elle à pied, moi dans l’ascenseur âgé et lent. Dynamique, Linda m’ouvrit la porte de l’appartement sans se répartir de son rôle d’hôte. Je la suivis attentivement. Je l’écoutai religieusement. Mais en même temps, je la dévorais des yeux avec gourmandise, tentant d’imprégner ma mémoire de ses formes et imaginant son corps sans ses vêtements. En entrant, naturellement, elle a enlevé sa houppelande, grande cape chaude qui l’emmitouflait. Avec une négligente élégance, elle la déposa sur le dossier d’une chaise. Ainsi m’était-elle enfin apparue dans une tenue encore plus alléchante… chemisier à col Claudine, bleu marine et blanc, jupe ample plissée, bottes ...
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