1. Le sommeil des ours


    Datte: 31/01/2019, Catégories: fff, frousses, Collègues / Travail bain, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral init,

    ... bassin n’était pas la seule chose que j’avais agitée convulsivement, car elle me suivit de peu au paroxysme, enfonçant ses ongles dans mon épaule. Elle avait dû laisser une marque bien visible, en tout cas suffisante pour se faire sermonner par Léna pour m’avoir « abîmée ». — Pardon, Léna. Ne sois pas fâchée, allonge-toi. Encore essoufflée, je tentai de me décaler pour lui laisser la place, mais Louise me bloquait le passage. Léna se coucha donc à mes genoux, ses jambes autour des miennes, sa belle chevelure rousse étalée sur la serviette. C’était sans doute la plus athlétique de nous trois, elle me dépassait d’une bonne tête et pouvait sans doute soulever Louise d’une seule main, mais c’était aussi la plus ronde et l’essentiel de sa rondeur était concentré dans ses seins que je trouvais magnifiques. Cet avis devait être inscrit sur ma figure, car Louise posa ma main directement dessus : — Touche-les, tu en meurs d’envie. On dit souvent que tout le monde aime les seins, c’est sans doute vrai d’une partie importante de la population. En tout cas, j’aimais les miens, et je ne me gênais pas pour les toucher. Ceux de Léna étaient bien plus gros, certainement moins fermes, mais tout de même très agréables au toucher. Sa peau satinée qui sentait le lilas était douce, très douce, et ses mamelons, au milieu d’aréoles plus larges que les miennes, durcirent instantanément sous mes doigts. Comme je prolongeai ma caresse, Léna gémit, et j’entendis une autre respiration s’accélérer. ...
    ... Louise couchée sur sa serviette se masturbait en nous regardant. Comme Léna semblait apprécier mes attentions, je m’enhardis, et promenai mes mains inquisitrices sur toutes ses courbes. J’aurais pu la faire languir un peu, ne serait-ce que pour me venger des jours passés, mais quand il est question de sexe, je ne suis pas particulièrement patiente. Quoiqu’encore un peu timide, je plongeai donc ma tête entre ses cuisses laiteuses. Je décidai de commencer par glisser ma langue entre ses lèvres, remontant lentement le long de la fente jusqu’à son clitoris, pour voir. Je recommençai plusieurs fois le processus, en prenant mon temps, alors que son sexe et ses cuisses s’ouvraient pour m’inviter plus avant. Elle avait un petit goût salé, comme nous toutes j’imagine, qui ne m’était pas désagréable. Et d’après la musique de ses gémissements, j’avançais dans la bonne direction. Ensuite, je posai ma bouche sur son clitoris et le suçotai légèrement. Je fis plusieurs tours, à distance, avec ma langue en prenant soin de ne pas le toucher. Léna commençait à s’agiter entre mes mains, marmonnant des demandes incohérentes entre deux gémissements. Magnanime, et pas complètement sûre de mon jeu de langue, j’introduisis deux doigts dans son sexe prêt à les engloutir. Alors que je commençai à accélérer le rythme, je sentis du mouvement au niveau de mes jambes. Louise s’était allongée entre mes cuisses, et ayant agrippé mes fesses, était en train de me positionner au-dessus de sa bouche. Inutile de dire ...