Un loup-garou ?
Datte: 01/02/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
pénétratio,
humour,
québec,
fantastiq,
extraconj,
... rhum et recrachai mes poumons un bon deux minutes avant de pouvoir laisser un message sur le portable de Marie. Elle me rappela des toilettes du studio pendant une annonce, l’émission étant en direct. — Non !— Mais…— Pas question !— Mais…— J’ai dit non, Paul ; les maisons hantées, les fantômes, les esprits frappeurs, OK ! Loup-garou, non ! On va tomber dans le ridicule, mon beau. C’est occupé !— Hein ?— Non, c’est pas à toi que je parle. Oui, ce ne sera pas long. Seigneur !— Marie ?— Quoi ?— Pis.— C’est non, Paul.— Madame Lemieux !— Oui, j’arrive !— Mais…— Je suis une journaliste professionnelle, mon amour, je ne veux pas perdre ma crédibilité. Là, je pensai à sa collection de pantoufles représentant toutes des étranges bestioles japonaises en disant : — Tous frais payés, ma jolie, et le double du tarif habituel, pour le tournage équipe réduite, toi et moi, pas de cameraman, une semaine de vacances tous frais payés dans un petit village de rêve dans le nord de l’Abitibi. Je te filme en train de chercher des indices, de questionner des villageois et je m’occupe des recherches historiques pis le soir on baise… Bingo, minou. Mes deux pieds ankylosés toujours sur le bureau je rallumai ma pipe pendant qu’elle réfléchissait et j’entendis au téléphone : Toc ! Toc ! Toc ! — Madame Lemieux, trente secondes.— OK ! On part quand, Paul ?— …— Paul… Paul, t’as attrapé la grippe ? Toc ! Toc ! — Oui, oui, je viens !— Non ! Ehhh… On part mardi matin avec… le camion de Popa.— Non !— Mais…— ...
... On prend l’avion, voyons.— Pas question.— Mais…— Popa prend son camion, pas l’affaire qui tombe de haut. Gros soupir… — OK, bon, faut que je te laisse, toi pis ta satanée maladie des transports… à ce soir, mon amour… Oups !— Ça va, chérie !— Hum, oui j’ai déchiré mon slip, tant pis, poubelle…— Dix secondes, madame Lemieux.— Oui, oui, j’arrive !— N’oublie pas de croiser les jambes, ma belle bombe, ta robe est superbe, mais un peu courte. Le détecteur de fumée connecté directement sur la caserne des pompiers se mit à sonner. — Paul… Paul… Je besognais Dorine dans son labo à l’université. Debout, penchée sur son comptoir de travail, ses petites jambes écartées, elle criait son plaisir sans retenue. Je n’avais que relevé sa jupe noire sur ses reins et écarté son minislip pour la prendre en vitesse avant qu’un gardien de sécurité ne débarque à cette heure tardive ou son assistant de laboratoire parti en pause pour trente minutes. Je fixais ses belles gosses fesses blanches un peu molles et ma bite qui allait et venait en lui demandant déjà essoufflé tout en regardant la lune presque pleine au-dessus de Montréal par les grandes baies vitrées : — Alors, c’est pour quand les résultats pour la griffe, belles fesses ?— Ouf… Demain midi au plus tard… Ah, que c’est bon ! Continue, Paul…—Maudit que t’as un beau cul ! dis-je en lui tapant les fesses rudement avant de lui chatouiller l’anus rose et plissé avec un pouce.— Hummm ! Dorine avait 43 ans, neuf de moins que moi, et avait de sacrés ...