1. Un loup-garou ?


    Datte: 01/02/2019, Catégories: fh, extracon, Collègues / Travail pénétratio, humour, québec, fantastiq, extraconj,

    ... beaux seins, énormes et encore pas mal durs. On se connaissait depuis trois mois seulement et on baisait à chaque demande d’analyse que je lui faisais pour l’émission. Une femme brillante, une chimiste qui enseignait à l’Université du Québec, très cultivée et curieuse et qui n’hésitait jamais à se conduire comme la dernière des… enfin. Bandante à mort. Marie aussi avait ses petites aventures et c’était bien comme ça. — Je peux te venir dans la bouche ?— Pas le temps ! Oufff… C’est bon ! Mes couilles valsaient et la frappaient de plus en plus durement, ses fesses rebondissaient merveilleusement tandis que je ramenais mes mains sur ses hanches. Son comptoir de travail, auquel elle s’agrippait à deux mains, était rempli de pots, d’éprouvettes et de contenants de toutes sortes remplis de liquides colorés qui menaçaient de se renverser et qui sait, d’exploser ou de nous asphyxier. C’étaient des produits chimiques plus ou moins toxiques probablement, sans parler des ossements qui roulaient dans un plat en inox. On aurait dit ceux d’un tigre miniature ou d’un gros rat avec des dents de sabre. « Tant pis, ce serait une belle mort », me dis-je en sentant mes testicules rentrer par en dedans. — Je peux te la mettre dans… ?— Pas le temps ! Ouf… Le bruit de mon ventre heurtant ses fesses devait s’entendre du couloir, même de la rue St-Denis, trois étages plus bas. Tant pis. Flack ! Flack ! Flack ! — Ah oui, ça, c’est un beau petit cul ! entendis-je soudainement de la porte d’entrée du ...
    ... labo. Tout mon petit poil se dressa. « Merde ! » me dis-je en stoppant ma bite bien enfoncée dans la dame toute pâmée en tournant la tête. C’était son assistant, Sébastien, en sarrau blanc, mains dans les poches, gai jusqu’aux oreilles et ben sympathique, mais là, j’avais fait la gaffe de descendre mon pantalon aux genoux au lieu de sortir juste ma bite et il avait une sacrée vue et en profitait pleinement. — Wash ! Les fesses de la patronne ! rajouta-t-il amusé en penchant la tête un peu.— Va au café, Sébast ! lui ordonna-t-elle les yeux révulsés et les lunettes toutescroches.— OK, boss, mais juste cinq minutes, on a du travail. Elles sont quand même pas trop molles tes fesses pour ton âge, Dodo, mais ton copain… Ouuuu… Et le petit tattoo d’Homer Simpson sur la fesse droite, cool…— Fous le camp, salaud ! lâcha-t-elle en souriant. Il s’en alla en riant et moi je conclus en grognant. Je remplis son vagin détrempé de sperme en lui donnant quelques coups puissants avant de me retirer à bout de souffle et le cœur battant à tout rompre. Je secouai ma bite au-dessus de la poubelle juste à côté et remontai mon pantalon, soulagé. — Ouf… Merci, belles fesses, dis-je en la regardant s’essuyer le sexe avec des kleenex. Je te rappelle demain pour les résultats ?— OK ! fit-elle la voix enrouée en replaçant son slip, sa jupe pis ses lunettes. Mais j’aimerais mieux que tu viennes les chercher.— Good !— Sébastien aussi ! dit-elle en riant et remettant son sarrau.— Shit ! C’est quoi l’animal ...
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