1. La Muse (27)


    Datte: 01/02/2019, Catégories: Trash,

    ... la tête sur l’oreiller et les bras en arrière. Tu vois, je suis gentille avec toi, je te change de position. Elle me détacha et je me retournai. Je posai ma tête sur l’oreiller et me plaçai le cul bien en l’air. Elle m’attacha les poignets aux genoux et me força à écarter les jambes ; cette fois-ci, elle avait la totalité de mon intimité à sa disposition. — Humm, tu as la chatte toute grande ouverte, me dit-elle en y enfilant ses doigts et une partie de sa main. Elle en profita pour me masturber l’intérieur, ravivant mes envies. Cette fois, je désirais très fort qu’elle m’encule et qu’elle m’explose le trou du cul. — Maintenant je vais m’occuper de ton trou de balle, ma belle ! — C’est cela, l’épreuve ? lui demandai-je. — Oh non... c’est pour plus tard ; chaque chose en son temps, je te l’ai dit. Nous avons tout le temps. — Et... tu comptes y passer combien de temps ? — Je ne sais pas encore ; toute la nuit sans doute, ou jusqu’à ce que l’on tombe de sommeil : j’ai tout prévu, tu sais. — Comment cela, tu as tout prévu ? — J’ai prévu à boire et à manger ; il y a tout ce que tu veux... Maîtresse ! Nous avons des pizzas, du Coca et du café pour nous tenir éveillées, et du champagne aussi pour la fin ou pendant, c’est comme on veut. — Mais pourquoi tant de choses et si longtemps ? — Tu es une vraie blonde, ma pauvre Jen, et sans jugeote. — Comment cela, sans jugeote ? — Tu n’as pas pensé un instant que Gilles m’avait appelé pour que j’aille aux États-Unis avec vous ? J’ai ...
    ... refusé. Tu n’as pas eu l’idée que je puisse être au courant que tu y allais et que cette séparation allait me faire du mal ? Tu sais, me foutre à poil dans la rue et me faire peindre, ce n’est pas mon truc ; c’est toi qui veux faire dans l’art, pas moi. Mais ne sois pas inquiète : cette séparation de quelque temps n’est pas si grave ; nous n’allons pas en mourir, non ? Alors en guise d’au-revoir, j’avais prévu de passer une soirée comme je te l’avais demandé, mais ton idée de combat m’a foutu le feu ; alors on va passer une nuit blanche et faire tout un tas de trucs cochons, très cochons. — T’es une belle salope ! Tu ne pouvais pas me le dire avant ? J’aurais apporté à manger et à boire, et puis des... — Bah non, n’oublie pas que je devais être ton jouet, et je ne voulais pas que tu te doutes de quelque chose ; mais le vent à tourné. Peut-être qu’il retournera... plus tard, qui sait ? En attendant, je vais t’exploser le trou du cul pour que tu puisses te faire enculer plus facilement par les Amerlocs. Allez, en position ! Elle enduisit copieusement mon trou et présenta le gode spirale ; à son contact avec mon anus, je frémis. « Ça va être ta fête, Jen ! » me dit mon petit doigt. Elle l’enfonça un peu puis le fit tourner ; je le sentais se visser et mon pauvre anus s’élargir petit à petit. Mais cette fois Caro choisit la rapidité : elle tournait, tournait sans arrêt comme si elle voulait en finir rapidement. De temps en temps, elle tentait un mouvement de va-et-vient mais le gode, ...