1. La Muse (27)


    Datte: 01/02/2019, Catégories: Trash,

    ... pris par sa vis, ne bougeait pas. Elle avait raison : ce n’était pas si terrible que cela, du moins pour le moment. Au fond de moi, je pensais que « l’épreuve » était là. Elle voulait qu’on s’élargisse les orifices pour mieux jouer, alors je décidai de me laisser faire pour lui prouver que j’en étais capable, et que surtout je pourrais lui faire ; et là... Le gode tournait et je commençais à avoir un peu mal à mon petit trou (qui ne devait plus l’être, d’ailleurs). Elle tournait et je sentais mon cul s’élargir. Je me mis à transpirer à nouveau car je commençais à avoir mal ; mes tissus distendus refusaient d’aller plus loin. — Arrête, Caro, j’ai trop mal. — OK. On va faire une pause et on réessaye, OK ? — D’accord, alors on boit un coup ; j’ai soif ! — OK, je te détache. Elle me rendit ma liberté ; un bon verre de Coca me fit le plus grand bien, puis je me remis en position mais cette fois je pris mes fesses avec les mains et tirai dessus pour écarter mon trou au maximum. — Allez, vas-y, visse ton truc, lui dis-je. Elle vissa et le gode entra, non sans douleur, mais il entra. — Parfait, tu as été parfaite, il est au maximum ; je vais le laisser un peu, le temps que tu t’habitues. — OK ; on fait quoi, maintenant ? Et j’ai terriblement chaud. — Une bonne douche, cela te dit ? Et c’est moi qui te lave, d’accord ? — Si cela te fais plaisir, je prends. Je n’avais aucune idée de ce qu’elle me réservait. Elle m’entraîna, moi toujours engodée, dans la salle d’eau et me dit : — ...
    ... Mets-toi dans la douche (nous avions une grande douche à l’italienne), et tu me lèches la minette avant. — Avec plaisir... Maîtresse. Je me suis agenouillée sur le sol. Elle s’avança et plaqua sa chatte contre ma bouche. J’adorais sucer sa minette parfaitement épilée, douce comme la peau d’un bébé. Je léchais avec application, doucement ; elle me passait la main dans les cheveux et les massait. Elle gémissait – ça lui faisait toujours ça – puis elle me prit la tête à deux mains et la plaqua fermement contre elle. Je pensais que je lui faisais un très grand plaisir, alors je redoublai d’ardeur pour lui offrir un magnifique cunnilingus. Mais dans ma bouche, il se mit à couler un liquide chaud : elle était en train de me pisser dans la bouche, cette salope, cette grosse dégueulasse ! J’avais beau essayer de me dégager, elle me tenait très fort et le liquide coulait. J’arrivai à recracher. Pour me libérer, je lui fourrai mes doigts dans la chatte. L’effet fut immédiat : elle eut un fantastique orgasme et je réussis à me dégager. — T’es une vraie salope, doublée d’une grosse dégueulasse ; ne refais jamais ça ! — Tu n’as pas aimé ? Moi si. — C’était ça, ton épreuve ? — Oui, je voulais faire un truc bizarre, et crade aussi ; alors fais-moi la même chose, et ensuite mon cul sera à toi. — Tu es vraiment barrée comme nana ! — Pourquoi ? Tu n’as peut-être jamais voulu faire des trucs bizarres ? Et quand tu t’es fait enculer dans le métro à Paris, tu n’as crié au viol, que je sache ! — Tu as ...