1. LA BELLE SAISON 2


    Datte: 02/02/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Après la fin de soirée avec Nathalie, je crains un moment qu’elle ne se montre trop collante avec moi, mais elle attaque sa saison en pro, sans la moindre remarque ou attitude dénotant la proximité que nous pouvons avoir. Rapidement, je me rends compte que cette aventure semble n’avoir été qu’une passade et elle ne s’intéresse plus à moi. Un jour, à la fin du service de midi, Flora, vient me voir et me demande si je peux l’amener à Ceret, le village proche, où elle a quelques courses à faire. N’ayant rien de prévu, j’accède à sa demande. Je suis déjà dans ma voiture quand je la vois arriver, changée, vétue d’un jean qui moule un fessier bien rond et ferme, et d’un chemisier noué sur son nombril, qui met en valeur une poitrine ferme avec un décolleté qui plonge bas entre ses seins opulents. Arrivés, je la dépose près d’une supérette en lui donnant rendez-vous dans un café proche. A la terrasse du café, je retrouve Christophe, le chef cuisinier de la station avec qui j’ai sympathisé dès mon arrivée. C’est un gars d’une quarantaine d’années, pas très grand(1,75m) qui a le type latino avec sa peau mate et bronzée et son épaisse chevelure noire. « Alors, tu bois tout seul ? » lui dis-je « Ben, non, puisque tu es là » rétorque t’il avec finesse Je m’installe et commande un café. Ce bistrot est devenu notre QG, et nous nous y retrouvons régulièrement. Cependant, je suis étonné de le voir seul car il est de la région et connaît beaucoup de monde. « En fait, j’attends ma femme qui ...
    ... est chez le coiffeur, elle doit me ramener à la station avant de rentrer. » « Tu es marié, toi ? » « Oui, et depuis pas mal d’années déjà. » « Tu ne m’en as jamais parlé. » « C’est juste que ces derniers temps, nous étions plutôt en froid, et j’étais retourné chez mon père, mais ça a l’air d’aller mieux, et elle est très amoureuse en ce moment. » « Tant mieux pour toi. » « Oui, enfin c’est bien quand on est raccord au même moment. » Nous sommes interrompus par Flora, qui nous rejoint, un petit sac contenant ses achats, à la main. Nous passons un moment à discuter en sirotant nos boissons dans la fraicheur relative de la terrasse ombragée, puis Flora demande si nous pouvons y aller. Sur le chemin de retour, elle me dit qu’elle trouve Christophe sympa. A la station, je dégote une place à l’ombre. Flora m’invite à prendre un rafraichissement dans son appartement. Son studio donne du même côté que le mien, mais il est en boût de batiment, et sa terrasse protégée par une haie de thuyas, n’a pas de vis à vis. Elle nous ouvre sa porte, et je retrouve inversé, la même disposition que mon studio, inversée. « Installe toi sur la terrasse, je prépare une citronnade » me dit elle. Sur la terrasse, une table et trois chaises d’un côté, et deux transats de l’autre ; l’équipement standard. Quelques minute plus tard, elle arrive avec un petit plateau qu’elle dépose sur la table. Elle a oté son jean. « Il fait si chaud. Je passe mes après-midi à lézarder » explique t’elle en nous servant à ...
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