1. LA BELLE SAISON 2


    Datte: 02/02/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... de malice. Afin de ne pas tenir la chandelle, j’ai invité Marie-Pierre, une des réceptionnistes, une grande fille blonde, assez jolie, mais sans doute un peu stricte. Elle est vétue d’une robe blanche assez classique qui s’arrète sous le genou. De son côté, Joelle porte une robe noire, assez courte, boutonnée sur le devant, qui met en valeur son bronzage. A l’aller, nous nous installons, Christophe et moi, à l’avant de ma voiture tandis que les deux filles s’assoient à l’arrière. Après trois quart d’heure de route nous arrivons à Saint-Cyprien. Christophe nous entraine dans un restaurant sur le port, où nous passons un excellent moment sur la terrasse du premier étage, nous délectant de fruits de mer et de rosé frais, tandis que la foule des touristes défile inlassablement un étage plus bas. Les demoiselles apprécient leur soirée. Joelle, avec qui j’ai trouvé une connivence est prise d’un fou rire communicatif, et nous nous esclaffons pendant de longues minutes devant les deux autres ébahis. J’ai l’impression que Marie-Pierre est un peu vexée et pense que nous nous moquons d’elle, mais je m’empresse de la rassurer. Suite au repas, nous partons pour une marche digestive et nous mélons à la foule. Heureusement, dès qu’on sort de la zone du port, il y a moins de monde, moins de lumière aussi. Joelle se fait plus chatte, et se rapproche de Christophe. Ils échangent fréquemment de petits bisous. De son côté Marie-Pierre garde ses distances, malgré mes tentatives d’approche. Nous ...
    ... nous posons bientôt sur un muret, face à la plage. La discussion s’est éteinte. A quelques mêtres de moi, Christophe se fait plus entreprenant . La robe de joelle a maintenant plusieurs boutons dégrafés, et il glisse ses mains sur ses seins presque entièrement découverts. Voyant qu’elle ne regimbe pas, il remonte le bas de la robe, découvrant les cuisses de la belle, et les caressant. Marie-Pierre, fait mine de ne rien voir, les yeux obstinément fixés sur la mer, où, vu l’obscurité, il n’y a rien à voir. Je la prends par le cou, et me rapproche, mais quand j’essaie de l’embrasser elle se dérobe. Un peu plus tard, quand nous regagnons la voiture, Christophe et Joelle s’engouffrent à l’arrière, et Marie Pierre vient s’asseoir à ma droite. A peine sur la route, la musique de l’autoradio est souvent couverte par les gloussements de Joelle, et des bruits de tissu froissé. Un coup d’œil au rétroviseur, et je peux constater que la robe de joelle est maintenant totalement ouverte, sans pourvoir en percevoir davantage. Ces deux là ne doivent pas s’ennuyer. La proximité de cette activité sexuelle a tendance à m’exciter. A ma droite, Marie-Pierre garde les yeux rivés sur la route, mais elle ne peut ignorer ce qui se passe dans l’habitacle. Dans la lueur diffuse du tableau de bord, j’envoie ma main sur son genou, mais elle la repousse. Un peu frustré, je me concentre sur ma conduite, mais les bruits de succions venant de l’arrière m’obsèdent de plus en plus. Je retente ma chance, et là, ...